Quelque chose du style: « Les livres-jeux, un engagement au potentiel créatif sous exploité ? » reporterait la "faute" non pas sur le format, mais sur ceux qui s'en servent (mal?).
Je crois que ton titre part de l'idée que l'opinion générale est orientée vers le "oui". Mais qu'ensuite le texte aborde plutôt des arguments dans le sens du "non". C'est un peu comme un livre dont le titre serait: "La France, un pays sur le déclin?" En majorité le lecteur imagine tout de suite "oui" dans sa tête, mais l'auteur malicieux va démontrer qu'en fait c'est "non"!
Peut-être un truc du genre: « Les livres-jeux, un engagement à créativité limitée ou un véritable potentiel encore sous exploité? » mettrait mieux en relief le fait que l'idée de la limite supposée du format n'est pas forcément la seule explication valable, celle que conçoit la majorité, et qu'elle va de pair avec une autre explication, à savoir que ce sont en fait les personnes qui n'ont pas encore exploité tout son potentiel.
La question ouvrirait donc directement vers deux voies possibles, obligeant la majorité à se dire: "Ah oui c'est vrai, peut-être qu'on n'a pas forcément exploité le maximum que peut offrir ce format..." Et comme ce nouveau doute s'est installé dans son esprit, il va vouloir chercher la réponse dans la suite du discours...
Sinon, avec "Les livres-jeux, un engagement à créativité limitée ?", il risque de passer son chemin en se disant: "Bah pas la peine d'écouter le discours car je sais déjà par avance que la réponse est oui"...
Je crois que ton titre part de l'idée que l'opinion générale est orientée vers le "oui". Mais qu'ensuite le texte aborde plutôt des arguments dans le sens du "non". C'est un peu comme un livre dont le titre serait: "La France, un pays sur le déclin?" En majorité le lecteur imagine tout de suite "oui" dans sa tête, mais l'auteur malicieux va démontrer qu'en fait c'est "non"!
Peut-être un truc du genre: « Les livres-jeux, un engagement à créativité limitée ou un véritable potentiel encore sous exploité? » mettrait mieux en relief le fait que l'idée de la limite supposée du format n'est pas forcément la seule explication valable, celle que conçoit la majorité, et qu'elle va de pair avec une autre explication, à savoir que ce sont en fait les personnes qui n'ont pas encore exploité tout son potentiel.
La question ouvrirait donc directement vers deux voies possibles, obligeant la majorité à se dire: "Ah oui c'est vrai, peut-être qu'on n'a pas forcément exploité le maximum que peut offrir ce format..." Et comme ce nouveau doute s'est installé dans son esprit, il va vouloir chercher la réponse dans la suite du discours...
Sinon, avec "Les livres-jeux, un engagement à créativité limitée ?", il risque de passer son chemin en se disant: "Bah pas la peine d'écouter le discours car je sais déjà par avance que la réponse est oui"...