08/11/2016, 15:50
(Modification du message : 08/11/2016, 16:05 par Voyageur Solitaire.)
De mon côté, énorme influence de la musique, de certains films et de certains livres.
J'écris toujours en musique avec en général une musique "épique" ou "New Age" on va dire... Basil Poledouris pour la BO de Conan, Dead Can Dance (pour ceux qui connaissent), Vangelis, mais aussi des morceaux de New Wave (Talk Talk, mon groupe culte) ou plus classique avec Ryiuchi Sakamoto par exemple, voire du Jean-Michel Jarre ou du Depeche Mode. Pour Les tambours de Shamanka, j'ai écouté en boucle l'album Spiritchaser de Dead Can Dance et de nombreuses versions instrumentales de tubes comme Such a shame de Talk Talk. African skies de Simple Minds aussi, en boucle.
Pour les films, ça dépend du sujet de l'AVH mais j'ai toujours une réserve de films cultes, le plus souvent historiques ou/et Fantasy qui constituent un "fond" dans lequel je puise parfois une situation, un bout de dialogue, une idée...
Et puis surtout, les bouquins. Pas que du Howard, Clark Ashton Smith, Abraham Merritt ou Tanith Lee d'ailleurs... Souvent des romans historiques, des poèmes, des livres "littéraires"... Indispensable pour trouver les mots, le rythme, les synonymes, les tournures de phrases, la fluidité nécessaire pour faire passer mes descriptions très poussées parfois... Le choix des mots est primordial, un mot bien choisi et à la bonne place peut changer le sens, le ressenti de toute une phrase. Y a pas de secret, pour aimer écrire, il faut aimer lire, il faut aimer les mots, jouer avec eux. Surtout avec le français, langue très riche et complexe. On n'est pas obligé d'écrire du Proust, si on choisit bien ses mots, on peut faire passer une image, un ressenti, avec peu.
Un bon dico (ou Tata Wikipédia) reste indispensable pour éviter certaines bourdes, surtout dans les descriptions. Histoire d'éviter par exemple de mettre un tigre en Afrique ou une aurore boréale dans le désert. Pour Les tambours de Shamanka, j'ai fait des recherches sur la végétation africaine, la faune, la flore, le climat... Histoire de pas mettre une forêt de sapins sur une colline en pleine brousse... J'exagère là, mais c'est pour donner une idée.
Et puis, dans une moindre mesure, le dessin. Ayant, sans me vanter, un joli coup de crayon, j'ai souvent un bout de papier à côté et des fois je crayonne un costume, un bijou, un accessoire, le visage d'un de mes personnages. Cela me permet de mieux visualiser mon idée. Et bien sûr, les dessin des autres : Frazetta, Boris Vallejo, Keith Parkinson, Nightrhino... mais aussi des images trouvées sur le net, des illustrations...
J'écris toujours en musique avec en général une musique "épique" ou "New Age" on va dire... Basil Poledouris pour la BO de Conan, Dead Can Dance (pour ceux qui connaissent), Vangelis, mais aussi des morceaux de New Wave (Talk Talk, mon groupe culte) ou plus classique avec Ryiuchi Sakamoto par exemple, voire du Jean-Michel Jarre ou du Depeche Mode. Pour Les tambours de Shamanka, j'ai écouté en boucle l'album Spiritchaser de Dead Can Dance et de nombreuses versions instrumentales de tubes comme Such a shame de Talk Talk. African skies de Simple Minds aussi, en boucle.
Pour les films, ça dépend du sujet de l'AVH mais j'ai toujours une réserve de films cultes, le plus souvent historiques ou/et Fantasy qui constituent un "fond" dans lequel je puise parfois une situation, un bout de dialogue, une idée...
Et puis surtout, les bouquins. Pas que du Howard, Clark Ashton Smith, Abraham Merritt ou Tanith Lee d'ailleurs... Souvent des romans historiques, des poèmes, des livres "littéraires"... Indispensable pour trouver les mots, le rythme, les synonymes, les tournures de phrases, la fluidité nécessaire pour faire passer mes descriptions très poussées parfois... Le choix des mots est primordial, un mot bien choisi et à la bonne place peut changer le sens, le ressenti de toute une phrase. Y a pas de secret, pour aimer écrire, il faut aimer lire, il faut aimer les mots, jouer avec eux. Surtout avec le français, langue très riche et complexe. On n'est pas obligé d'écrire du Proust, si on choisit bien ses mots, on peut faire passer une image, un ressenti, avec peu.
Un bon dico (ou Tata Wikipédia) reste indispensable pour éviter certaines bourdes, surtout dans les descriptions. Histoire d'éviter par exemple de mettre un tigre en Afrique ou une aurore boréale dans le désert. Pour Les tambours de Shamanka, j'ai fait des recherches sur la végétation africaine, la faune, la flore, le climat... Histoire de pas mettre une forêt de sapins sur une colline en pleine brousse... J'exagère là, mais c'est pour donner une idée.
Et puis, dans une moindre mesure, le dessin. Ayant, sans me vanter, un joli coup de crayon, j'ai souvent un bout de papier à côté et des fois je crayonne un costume, un bijou, un accessoire, le visage d'un de mes personnages. Cela me permet de mieux visualiser mon idée. Et bien sûr, les dessin des autres : Frazetta, Boris Vallejo, Keith Parkinson, Nightrhino... mais aussi des images trouvées sur le net, des illustrations...
Anywhere out of the world