18/07/2016, 09:38
Haha le feed de Kraken façon Caïthness m'a bien fait rire
Cette oeuvre était vachement cool et plutôt bien construite, autant dans le fond que la forme.
Au début je me suis demandé où on allait avec ces morts-vivants, ces technologies, etc... puis au fur et à mesure je découvre un univers cohérent avec son propos, qui sait exactement où il va. Le lecteur est pris dans un tourbillon d'intrigues marqués par des noms incompréhensibles qui lui font presque comprendre qu'il n'a pas sa légitimité dans la gouvernance de la galaxie de son vieux. Heureusement qu'une IA est présente pour le remettre à niveau, et c'était certainement la meilleure idée à faire pour que le joueur se sente à la fois un étranger & capable de se frayer un chemin pour légitimer son trône.
Une fois à l'aise avec l'univers, on peut enfin commencer à se prendre au jeu du trône d'Os (qui m'a beaucoup fait penser au trône de Fer, certainement a raison), décider de buter qui on veut ou presque, se marier, créer une alliance, spéculer, exécuter... bref, si je n'ai pas testé toutes les possibilités offertes, je me suis senti en totale liberté et j'ai trouvé les actions en accord avec l'ambiance de huis-clos spatial qui fut offert. Les personnages sont haut en couleurs, plusieurs technologies/pouvoirs sont présentes pour servir les retournements de scenario et si on trouve à remettre en question leur existence (du moins au début), on comprend vite que cela participe à l'immensité d'une civilisation que l'on n'est pas en mesure d'assimiler en deux heures d'existence (donc pas le temps d'expliquer comment ça marche, et limite on s'en fout. Les jouets existent pour qu'on s'en serve, point).
Au final je me suis pris au jeu du mort-vivant blasé, froid et calculateur. Et du coup j'ai également très apprécié certaines fins plus en adéquations avec la condition humaine, ce qui donne d'autres saveurs à la lecture et me conforte dans cette idée qu'un nouveau venu dans cette politique du coupe-gorge joyeux n'a pas forcément le même point de vue, ni même envie de se mêler à ses conneries triviales qu'on appelle politique.
Donc drôle et personnalisable, avec quelques retournements de situation dignes d'un film de gueules, du tout bon pour moi ^^
Cette oeuvre était vachement cool et plutôt bien construite, autant dans le fond que la forme.
Au début je me suis demandé où on allait avec ces morts-vivants, ces technologies, etc... puis au fur et à mesure je découvre un univers cohérent avec son propos, qui sait exactement où il va. Le lecteur est pris dans un tourbillon d'intrigues marqués par des noms incompréhensibles qui lui font presque comprendre qu'il n'a pas sa légitimité dans la gouvernance de la galaxie de son vieux. Heureusement qu'une IA est présente pour le remettre à niveau, et c'était certainement la meilleure idée à faire pour que le joueur se sente à la fois un étranger & capable de se frayer un chemin pour légitimer son trône.
Une fois à l'aise avec l'univers, on peut enfin commencer à se prendre au jeu du trône d'Os (qui m'a beaucoup fait penser au trône de Fer, certainement a raison), décider de buter qui on veut ou presque, se marier, créer une alliance, spéculer, exécuter... bref, si je n'ai pas testé toutes les possibilités offertes, je me suis senti en totale liberté et j'ai trouvé les actions en accord avec l'ambiance de huis-clos spatial qui fut offert. Les personnages sont haut en couleurs, plusieurs technologies/pouvoirs sont présentes pour servir les retournements de scenario et si on trouve à remettre en question leur existence (du moins au début), on comprend vite que cela participe à l'immensité d'une civilisation que l'on n'est pas en mesure d'assimiler en deux heures d'existence (donc pas le temps d'expliquer comment ça marche, et limite on s'en fout. Les jouets existent pour qu'on s'en serve, point).
Au final je me suis pris au jeu du mort-vivant blasé, froid et calculateur. Et du coup j'ai également très apprécié certaines fins plus en adéquations avec la condition humaine, ce qui donne d'autres saveurs à la lecture et me conforte dans cette idée qu'un nouveau venu dans cette politique du coupe-gorge joyeux n'a pas forcément le même point de vue, ni même envie de se mêler à ses conneries triviales qu'on appelle politique.
Donc drôle et personnalisable, avec quelques retournements de situation dignes d'un film de gueules, du tout bon pour moi ^^