08/07/2016, 13:19
La Caste des Méta-Barons + Requiem, chevalier vampire + Des noms à coucher des dehors.
Cette addition sera bien plus explicite qu'un long discours pour décrire l'univers où se déroule Consomption, empire galactique futuriste fondé sur la nécromancie où tout n'est que démesure, de l'architecture aux capacités des personnages.
Nous incarnons, liche et fils de liche, l'héritier de tout ce bazar après la désintégration malheureuse de notre impérial paternel. Évidemment, toutes les factions en présence comptent bien profiter de cette occasion exceptionnelle (l'immortalité ayant tendance à diminuer la fréquence des couronnements) pour réajuster en leur faveur l'équilibre des pouvoirs.
Commençons par le meilleur. J'aime beaucoup cette univers baroque, suranné, un peu gothique même. Ainsi que le fait que ce soit une histoire « entre méchants », où tout le monde trahit tout le monde sans la moindre vergogne. À ce sujet, je pense que le mécanisme de trahison, assez fluide, aurait mérité d'être dans le tronc commun (pour pouvoir systématiquement l'exploiter) plutôt que de dépendre de l'acquisition ou non de certaines informations.
Clairement, à ma première lecture, j'ai été complètement paumé entre tous les personnages et baladé par les événements sans réellement comprendre ce qui m'arrivait. Ce n'est qu'à partir de la seconde que j'ai pu commencer à reconnaître les protagonistes et à prendre des décisions un tant soit peu réfléchies. Ce n'est pas un vrai problème en soi, mais cela fait que j'ai reçu dans la gueule certaines révélations sans vraiment les « mériter » (on a beaucoup râlé sur la sécheresse de l'échec sans comprendre de Au Coeur d'un Cercle de Sable et d'Eau, mais au moins cela conservait le suspens).
En effet, et c'est là le principal défaut de l'histoire à mon avis, même si cela reste mineur : La fin est un sacré foutoir. Il se passe des trucs dans tous les sens, le moindre petit changement dans nos actions fait boule de neige et nous emmène vers l'une des conclusions possibles avec parfois une certaine confusion. Par exemple, il y a au moins une fois où le texte considère qu'on a une information primordiale qu'il est en fait possible d'avoir totalement raté (probablement une erreur de copier-coller, qui sont nombreux sur la fin). La victoire devient ainsi presque une affaire d'aléatoire (presque, car il y a quand même des décisions toujours bonnes et d'autres toujours idiotes).
Mais sinon, cela reste très cool. Y'a plusieurs fins, pas mal de chemins et des personnages hauts en couleurs. Que demande le peuple ?
Cette addition sera bien plus explicite qu'un long discours pour décrire l'univers où se déroule Consomption, empire galactique futuriste fondé sur la nécromancie où tout n'est que démesure, de l'architecture aux capacités des personnages.
Nous incarnons, liche et fils de liche, l'héritier de tout ce bazar après la désintégration malheureuse de notre impérial paternel. Évidemment, toutes les factions en présence comptent bien profiter de cette occasion exceptionnelle (l'immortalité ayant tendance à diminuer la fréquence des couronnements) pour réajuster en leur faveur l'équilibre des pouvoirs.
Commençons par le meilleur. J'aime beaucoup cette univers baroque, suranné, un peu gothique même. Ainsi que le fait que ce soit une histoire « entre méchants », où tout le monde trahit tout le monde sans la moindre vergogne. À ce sujet, je pense que le mécanisme de trahison, assez fluide, aurait mérité d'être dans le tronc commun (pour pouvoir systématiquement l'exploiter) plutôt que de dépendre de l'acquisition ou non de certaines informations.
Clairement, à ma première lecture, j'ai été complètement paumé entre tous les personnages et baladé par les événements sans réellement comprendre ce qui m'arrivait. Ce n'est qu'à partir de la seconde que j'ai pu commencer à reconnaître les protagonistes et à prendre des décisions un tant soit peu réfléchies. Ce n'est pas un vrai problème en soi, mais cela fait que j'ai reçu dans la gueule certaines révélations sans vraiment les « mériter » (on a beaucoup râlé sur la sécheresse de l'échec sans comprendre de Au Coeur d'un Cercle de Sable et d'Eau, mais au moins cela conservait le suspens).
En effet, et c'est là le principal défaut de l'histoire à mon avis, même si cela reste mineur : La fin est un sacré foutoir. Il se passe des trucs dans tous les sens, le moindre petit changement dans nos actions fait boule de neige et nous emmène vers l'une des conclusions possibles avec parfois une certaine confusion. Par exemple, il y a au moins une fois où le texte considère qu'on a une information primordiale qu'il est en fait possible d'avoir totalement raté (probablement une erreur de copier-coller, qui sont nombreux sur la fin). La victoire devient ainsi presque une affaire d'aléatoire (presque, car il y a quand même des décisions toujours bonnes et d'autres toujours idiotes).
Mais sinon, cela reste très cool. Y'a plusieurs fins, pas mal de chemins et des personnages hauts en couleurs. Que demande le peuple ?