Faute avouée à moitié pardonnée.
Toutefois, ma patience a des limites et il ne faut pas exagérer.
Voilà qui résume bien mon impression sur l'aventure. Je comprends bien qu'une aventure puisse sacrifier un peu de sa qualité pour rentrer dans les délais imposés par un concours. Même s'il y a eu particulièrement de l'abus cette année, avec une vraie déferlante d'œuvres non relues sur la fin, c'est quelque chose qu'on a tous fait ici au moins une fois, et je ne jetterai pas la pierre.
Mais là, franchement, l'absence de la moindre particule d'équilibrage me sidère. C'est un peu comme si dans Mario le premier ennemi était trop haut pour qu'on puisse sauter par-dessus.
Ah, et une erreur de renvoi au 42 empêche purement et simplement d'accéder à une des fins promises dans l'introduction pour faire passer la pilule du bâclage.
Bon, on se calme, et on reprend dans l'ordre.
Dans cette histoire, nous incarnons le fils légitime du baron Sukumvit, et donc héritier de l'Épreuve des Champions et de sa réputation déclinante. À nous de redresser l'affaire familiale.
Après une assez longue introduction (un bon cinquième de l'aventure), pleine de détails amusants (je pense à l'idée d'introduire des spectateurs dans le labyrinthe notamment) malheureusement non exploités à leur juste valeur dans la suite (un peu comme dans Au nord du désert, il n'y a rien), nous arrivons à un quadruple choix dont deux des alternatives sont des PFA.
...
Ai-je besoin de dire que l'aventure est un OTP d'une grande difficulté, même en faisant abstraction des dés ?
On se recentre. Le scénario donc. Nous sommes le digne fils de notre père, c'est-à-dire une ordure, et cherchons à démasquer celui qui parmi nos peu fiables conseillers voudrait bien devenir calife à la place du calife.
Synopsis intéressant, qui a bien du mal à tenir en seulement 50 paragraphes. Surtout car l'histoire se permet quelques détours, comme combattre des zombies, détours qui auraient pu être une agréable distraction dans une aventure plus longue mais ici dévorent de l'espace dont l'intrigue principale aurait bien besoin.
Ce qui fait qu'au final toute la partie enquête est superficielle et téléphonée.
Au final, j'ai une sensation de gâchis. L'idée de départ aurait pu donner de grandes choses, mais dans l'état actuel, c'est vraiment trop bancal.
Toutefois, ma patience a des limites et il ne faut pas exagérer.
Voilà qui résume bien mon impression sur l'aventure. Je comprends bien qu'une aventure puisse sacrifier un peu de sa qualité pour rentrer dans les délais imposés par un concours. Même s'il y a eu particulièrement de l'abus cette année, avec une vraie déferlante d'œuvres non relues sur la fin, c'est quelque chose qu'on a tous fait ici au moins une fois, et je ne jetterai pas la pierre.
Mais là, franchement, l'absence de la moindre particule d'équilibrage me sidère. C'est un peu comme si dans Mario le premier ennemi était trop haut pour qu'on puisse sauter par-dessus.
Ah, et une erreur de renvoi au 42 empêche purement et simplement d'accéder à une des fins promises dans l'introduction pour faire passer la pilule du bâclage.
Bon, on se calme, et on reprend dans l'ordre.
Dans cette histoire, nous incarnons le fils légitime du baron Sukumvit, et donc héritier de l'Épreuve des Champions et de sa réputation déclinante. À nous de redresser l'affaire familiale.
Après une assez longue introduction (un bon cinquième de l'aventure), pleine de détails amusants (je pense à l'idée d'introduire des spectateurs dans le labyrinthe notamment) malheureusement non exploités à leur juste valeur dans la suite (un peu comme dans Au nord du désert, il n'y a rien), nous arrivons à un quadruple choix dont deux des alternatives sont des PFA.
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Ai-je besoin de dire que l'aventure est un OTP d'une grande difficulté, même en faisant abstraction des dés ?
On se recentre. Le scénario donc. Nous sommes le digne fils de notre père, c'est-à-dire une ordure, et cherchons à démasquer celui qui parmi nos peu fiables conseillers voudrait bien devenir calife à la place du calife.
Synopsis intéressant, qui a bien du mal à tenir en seulement 50 paragraphes. Surtout car l'histoire se permet quelques détours, comme combattre des zombies, détours qui auraient pu être une agréable distraction dans une aventure plus longue mais ici dévorent de l'espace dont l'intrigue principale aurait bien besoin.
Ce qui fait qu'au final toute la partie enquête est superficielle et téléphonée.
Au final, j'ai une sensation de gâchis. L'idée de départ aurait pu donner de grandes choses, mais dans l'état actuel, c'est vraiment trop bancal.