05/07/2016, 20:19
Ma joie de vivre est morte également ! Première, deuxième, troisième, lecture mort tragique. A la quatrième je tombe sur le paragraphe 12 qui n'est pas une mort donc je suppose que c'est la fin "heureuse".
Le début de l'histoire, in média res, est convaincante on comprends progressivement le lieu, et en gros les personnages. IL y a cependant un manque de leur développement, on comprends leurs motivations et ils sont tout à fais crédible mais pour que l'histoire nous prenne et ne nous lâche plus il aurait fallu leur donner du relief, des caractéristiques qui les rends vraiment intéressant.
Le fait que les personnages ne soit pas approfondis, amène au problème qui m'a "vraiment" gêné (ce n'est pas catastrophique, les paragraphes qui se répètent et qui disent exactement la même chose à une variation près. Les doublons ne sont pas mauvais en soit, mais ils sont un peu handicapant dans ce format.
Le fait que l'aventure est une allure de tragédie est assez captivant, on se demande comment s'en sortir, ces deux mystérieuses fioles en notre possession. Le fait que l'on ne puisse pas avoir beaucoup de prise sur les événements est tout à fait cohérent. Pourtant dans une AVH c'est assez frustrant.
L'aventure reste très agréable à la lecture, laissant peut-être un gout de défaite dans la bouche, je croyais qu'il y avait une fin vraiment heureuse.
Je pinaille un peu pour pas grand-chose le travail est vraiment beau et certain paragraphes (de plusieurs pages ) sont un plaisir de lecture.
Le début de l'histoire, in média res, est convaincante on comprends progressivement le lieu, et en gros les personnages. IL y a cependant un manque de leur développement, on comprends leurs motivations et ils sont tout à fais crédible mais pour que l'histoire nous prenne et ne nous lâche plus il aurait fallu leur donner du relief, des caractéristiques qui les rends vraiment intéressant.
Je pinaille un peu pour pas grand-chose le travail est vraiment beau et certain paragraphes (de plusieurs pages ) sont un plaisir de lecture.
Le rusé se réchauffe là où le sage se brule. Devant la bêtise humaine.