Quoi, huit tentatives seulement ? Je suis sûr qu'il m'en a fallu au moins une trentaine avant de trouver très précisément le parcours à suivre pour triompher de cette aventure, qui est l'une des plus difficiles de la série. Réussir du huitième coup, c'est une belle performance !
Les jets de dés ont une importance bien moindre dans ce LDVH-ci que dans la plupart des autres livres de la série. Une Habileté trop basse ne pose problème que pour le combat final. Par contre, il est bizarrement impossible de réussir l'aventure avec un score de Peur minimal (c'est probablement une erreur involontaire de S.J.).
J'apprécie surtout "Le Manoir" pour sa très bonne atmosphère. Le fait que l'histoire se déroule pour une fois dans le monde réel est également agréable. Pour une fois, on ne joue pas un valeureux héros, mais juste un type ordinaire qui n'a pas choisi le bon endroit où s'arrêter.
Réussir l'aventure du premier coup est virtuellement impossible mais, contrairement à ce qui est le cas dans d'autres LDVH, on prend plutôt plaisir à expérimenter jusqu'à trouver le bon chemin (d'autant qu'il est possible d'aller très loin dans des directions qui conduisent nécessairement à l'échec).
Du côté négatif, la répétition des "portes/j'ouvre/j'ouvre pas" est un peu lassante (même si elle est approprié au cadre). Par ailleurs, si on fait abstraction de l'atmosphère, le scénario n'est pas particulièrement élaboré. Il y a même quelques incohérences mineures : certaines des informations que l'on obtient vers le début de l'aventure sont inutiles voire erronées (je pense notamment à l'homme en gris et à l'identité du Maître).
Les jets de dés ont une importance bien moindre dans ce LDVH-ci que dans la plupart des autres livres de la série. Une Habileté trop basse ne pose problème que pour le combat final. Par contre, il est bizarrement impossible de réussir l'aventure avec un score de Peur minimal (c'est probablement une erreur involontaire de S.J.).
J'apprécie surtout "Le Manoir" pour sa très bonne atmosphère. Le fait que l'histoire se déroule pour une fois dans le monde réel est également agréable. Pour une fois, on ne joue pas un valeureux héros, mais juste un type ordinaire qui n'a pas choisi le bon endroit où s'arrêter.
Réussir l'aventure du premier coup est virtuellement impossible mais, contrairement à ce qui est le cas dans d'autres LDVH, on prend plutôt plaisir à expérimenter jusqu'à trouver le bon chemin (d'autant qu'il est possible d'aller très loin dans des directions qui conduisent nécessairement à l'échec).
Du côté négatif, la répétition des "portes/j'ouvre/j'ouvre pas" est un peu lassante (même si elle est approprié au cadre). Par ailleurs, si on fait abstraction de l'atmosphère, le scénario n'est pas particulièrement élaboré. Il y a même quelques incohérences mineures : certaines des informations que l'on obtient vers le début de l'aventure sont inutiles voire erronées (je pense notamment à l'homme en gris et à l'identité du Maître).