03/04/2016, 19:56
Bon j'ai lu un peu en diagonale, mais j'ai saisi le truc ; d'après moi, ce qu'il nous manque pour augmenter le nombre de votants c'est... un pool de lecteurs. Et ces gens-là on les trouve à l'extérieur du site.
Arrêtez-moi si je me trompe, mais un lecteur/votant c'est par définition quelqu'un qui aime lire et qui a du temps disponible pour le faire, et ce temps libre un écrivain l'a généralement moins ; c'est comme si on demandait à un cinéaste de faire un film et un court-métrage chaque année, et d'avoir le temps d'analyser les films des autres. Seuls de vrais passionnés acharnés comme vous peuvent tenir face à la charge de travail d'écriture/lecture/analyse.
J'avais proposé de m'occuper de la page Facebook pour améliorer la visibilité des AVH, parler un peu des concours et des projets de chacun, ce qui aiderait grandement à ramener quelques joyeux lecteurs avides d'histoires interactives, qui sont (je le rappelle) gratuites (un gros point fort). Et de surcroît on leur demande leur avis et on les fait participer ! Je pense que la recherche d'un bon public serait un grand "plus" pour ajouter du charbon dans la machine. On vit dans une époque où les citoyens se plaisent à jouer, ou bien à vaquer sur les réseaux sociaux, ou à rester des heures devant un écran à papoter devant un bonhomme qui joue à leur place. Certaines personnes ne demandent pas plus d'ambition que cela pour être heureux ! C'est triste si on veut mais pourtant c'est vrai, un créateur n'est rien sans son public, et un public ne demande qu'à être émerveillé devant un média, écouté puis remercié pour sa participation (que ce soit remerciement par oral, ou dans les cas les plus difficiles par un petit lot matériel).
Je pense donc qu'une visibilité sur les réseaux sociaux (reste à voir lesquels) est important, et surtout qu'il faut se montrer avenant et actif, sans pour autant sombrer dans l'hypocrisie ; si une ou deux personnes se chargeaient d'animer un ou deux "secteurs" à affluence sociale, ça suffirait pour amener du monde ici. Bien entendu cela va de pair avec un bon système de redirection, c-à-dire que dans le cadre d'un concours il suffise de quelques clics pour que les lecteurs puissent accéder aux oeuvres concernées (ça ou bien que le système de navigation soit clairement enseigné et renseigné). Moi je dis, pour commencer on devrait tenter un combo Twitter/Facebook.
Et pour ceux qui auraient peur de rameuter ici des dizaine de jeunes prépubères dépourvus de morale ou de connaissance du français, il n'y a aucune raison de s'inquiéter : la "lecture" est par définition une activité appréciée de personnes plutôt bien élevées. Je ne critique pas ceux qui n'aiment pas lire, c'est un constat. Et il se trouve qu'il existe beaucoup plus de jeunes lecteurs qu'on ne le croît. Ça ne vous rappelle rien des jeunes lecteurs ? Ah bah oui... c'était nous il y a longtemps, à l'époque où on découvrait à peine les joies que la lecture nous apportait, et qu'on demandait à nos parents de nous acheter un LDVELH plutôt qu'autre chose car on bavait devant les couvertures et qu'on avait soif de casser du gobelin dans la peau d'un chevalier parti en quête d'une épée légendaire. Oui des gens comme ça dans les générations actuelles il en existe pleins. Il suffit de leur montrer qu'on existe à notre tour.
(désolé pour ce long message)
Arrêtez-moi si je me trompe, mais un lecteur/votant c'est par définition quelqu'un qui aime lire et qui a du temps disponible pour le faire, et ce temps libre un écrivain l'a généralement moins ; c'est comme si on demandait à un cinéaste de faire un film et un court-métrage chaque année, et d'avoir le temps d'analyser les films des autres. Seuls de vrais passionnés acharnés comme vous peuvent tenir face à la charge de travail d'écriture/lecture/analyse.
J'avais proposé de m'occuper de la page Facebook pour améliorer la visibilité des AVH, parler un peu des concours et des projets de chacun, ce qui aiderait grandement à ramener quelques joyeux lecteurs avides d'histoires interactives, qui sont (je le rappelle) gratuites (un gros point fort). Et de surcroît on leur demande leur avis et on les fait participer ! Je pense que la recherche d'un bon public serait un grand "plus" pour ajouter du charbon dans la machine. On vit dans une époque où les citoyens se plaisent à jouer, ou bien à vaquer sur les réseaux sociaux, ou à rester des heures devant un écran à papoter devant un bonhomme qui joue à leur place. Certaines personnes ne demandent pas plus d'ambition que cela pour être heureux ! C'est triste si on veut mais pourtant c'est vrai, un créateur n'est rien sans son public, et un public ne demande qu'à être émerveillé devant un média, écouté puis remercié pour sa participation (que ce soit remerciement par oral, ou dans les cas les plus difficiles par un petit lot matériel).
Je pense donc qu'une visibilité sur les réseaux sociaux (reste à voir lesquels) est important, et surtout qu'il faut se montrer avenant et actif, sans pour autant sombrer dans l'hypocrisie ; si une ou deux personnes se chargeaient d'animer un ou deux "secteurs" à affluence sociale, ça suffirait pour amener du monde ici. Bien entendu cela va de pair avec un bon système de redirection, c-à-dire que dans le cadre d'un concours il suffise de quelques clics pour que les lecteurs puissent accéder aux oeuvres concernées (ça ou bien que le système de navigation soit clairement enseigné et renseigné). Moi je dis, pour commencer on devrait tenter un combo Twitter/Facebook.
Et pour ceux qui auraient peur de rameuter ici des dizaine de jeunes prépubères dépourvus de morale ou de connaissance du français, il n'y a aucune raison de s'inquiéter : la "lecture" est par définition une activité appréciée de personnes plutôt bien élevées. Je ne critique pas ceux qui n'aiment pas lire, c'est un constat. Et il se trouve qu'il existe beaucoup plus de jeunes lecteurs qu'on ne le croît. Ça ne vous rappelle rien des jeunes lecteurs ? Ah bah oui... c'était nous il y a longtemps, à l'époque où on découvrait à peine les joies que la lecture nous apportait, et qu'on demandait à nos parents de nous acheter un LDVELH plutôt qu'autre chose car on bavait devant les couvertures et qu'on avait soif de casser du gobelin dans la peau d'un chevalier parti en quête d'une épée légendaire. Oui des gens comme ça dans les générations actuelles il en existe pleins. Il suffit de leur montrer qu'on existe à notre tour.
(désolé pour ce long message)