11/01/2016, 22:40
Pour ma part, j’ai trouvé que l’aventure ne cassait pas des briques.
Evidement, il y a une volonté de parodier et parfois ca se révèle efficace (pas mal l’idée d’avoir repris les noms des principaux auteurs et de les intégrer dans un cimetière). Malheureusement, ce n’est pas souvent. A moins que je n’ai pas compris l’humour mais ca ne m’a pas paru très intéressant.
A noter que la succession d’évènements qui s’enchainent les uns à la suite des autres sans transition et que la forte linéarité avec des choix limités plombe l’immersion. Parfois, le héros agit tout seul alors que le lecteur n’aurait pas fait ces choix. En plus, la façon dont on acquiert les points de noirceur est parfois injuste (les trois points acquis parce qu’on pousse le marchand à se suicider est absurde puisqu’il ne le fait pas finalement).
Quant à la difficulté, l’aventure est totalement déséquilibrée avec une habileté variant de 7 à 12 comme tous les df. Bien sur, l’auteur a souhaité se mettre en conformité avec ces règles pour que le lecteur se sente en territoire connu mais le retour du bâton est le déséquilibre dans les combats. D’autant plus qu’ils sont assez longs et que cela fait 30 ans que l’on connait ces règles par cœur.
Je suis bloqué après l’énigme donné par Fouras. Je ne sais pas si elle est vraiment difficile ou pas. A vrai dire, je n’ai pas fait vraiment d’efforts pour chercher à la résoudre. Au final, je m’arrête ici, je n’accroche pas et je n’ai pas envie de continuer plus loin.
Evidement, il y a une volonté de parodier et parfois ca se révèle efficace (pas mal l’idée d’avoir repris les noms des principaux auteurs et de les intégrer dans un cimetière). Malheureusement, ce n’est pas souvent. A moins que je n’ai pas compris l’humour mais ca ne m’a pas paru très intéressant.
A noter que la succession d’évènements qui s’enchainent les uns à la suite des autres sans transition et que la forte linéarité avec des choix limités plombe l’immersion. Parfois, le héros agit tout seul alors que le lecteur n’aurait pas fait ces choix. En plus, la façon dont on acquiert les points de noirceur est parfois injuste (les trois points acquis parce qu’on pousse le marchand à se suicider est absurde puisqu’il ne le fait pas finalement).
Quant à la difficulté, l’aventure est totalement déséquilibrée avec une habileté variant de 7 à 12 comme tous les df. Bien sur, l’auteur a souhaité se mettre en conformité avec ces règles pour que le lecteur se sente en territoire connu mais le retour du bâton est le déséquilibre dans les combats. D’autant plus qu’ils sont assez longs et que cela fait 30 ans que l’on connait ces règles par cœur.
Je suis bloqué après l’énigme donné par Fouras. Je ne sais pas si elle est vraiment difficile ou pas. A vrai dire, je n’ai pas fait vraiment d’efforts pour chercher à la résoudre. Au final, je m’arrête ici, je n’accroche pas et je n’ai pas envie de continuer plus loin.