25/08/2006, 00:04
D'un côté, apprendre ce genre de chose me désole. C'est un peu du je-m'en-foutisme pour les lecteurs. Ils devaient se dire à l'époque -bien avant internet, je dois le préciser - que les ldvh seraient des romans de plage ou des «journal de Mickey» traduits et imprimés à la va-vite, et lu par des adolescents asociaux. L'avancée de la technologie et la passion de certains ont pu révéler les supercheries de ces messieurs.
Je me demande ce que répondrait Gallimard face à des mails de protestation contre leur traduction bancale ? Mais je ne me fais pas illusion. Je sais que l'éditeur s'en fout un peu de savoir si oui ou non, une ènième impression de livres déjà sur le déclin offusque les lecteurs. Mais pour paraphraser Jehan, mes derniers propos sont hors-sujet.
Je me demande ce que répondrait Gallimard face à des mails de protestation contre leur traduction bancale ? Mais je ne me fais pas illusion. Je sais que l'éditeur s'en fout un peu de savoir si oui ou non, une ènième impression de livres déjà sur le déclin offusque les lecteurs. Mais pour paraphraser Jehan, mes derniers propos sont hors-sujet.