09/03/2015, 02:06
Jouer cette AVH est une expérience très spéciale; on est emporté dans une lecture furieuse intensifiée par la recherche frénétique d’une issue - et le choix entre sauter sur la première issue repérée et continuer de lire pour en attendre une autre, si jamais il y en a une. La fin du paragraphe se rapproche, tic… tic… tic…
Le style y est pour beaucoup bien sûr, il est redoutablement efficace et même impressionnant – je ne sais pas si tu as un modèle littéraire ou si tu l’as sorti tout seul de tes propres tripes, en tout cas bravo !
( le seul livre de ma connaissance que ça me rappellerait, ce serait, un peu, Moravagine de Cendrars ).
Quelques fôtes ici et là, mais rien qui interrompe ce puissant courant.
On pourrait soutenir que ce n’est pas vraiment une AVH puisque le joueur ne fait pas de choix informés; mais dans la mesure où il s’agit de la représentation d’un processus de dépassement de la conscience, les moyens habituels basés sur la représentation de choix conscients ne s’appliquent pas.
À suivre ? Tu prépares une AVH qui partirait de celle-ci ?? Ça serait dur de soutenir la comparaison…
Le style y est pour beaucoup bien sûr, il est redoutablement efficace et même impressionnant – je ne sais pas si tu as un modèle littéraire ou si tu l’as sorti tout seul de tes propres tripes, en tout cas bravo !
( le seul livre de ma connaissance que ça me rappellerait, ce serait, un peu, Moravagine de Cendrars ).
Quelques fôtes ici et là, mais rien qui interrompe ce puissant courant.
On pourrait soutenir que ce n’est pas vraiment une AVH puisque le joueur ne fait pas de choix informés; mais dans la mesure où il s’agit de la représentation d’un processus de dépassement de la conscience, les moyens habituels basés sur la représentation de choix conscients ne s’appliquent pas.
À suivre ? Tu prépares une AVH qui partirait de celle-ci ?? Ça serait dur de soutenir la comparaison…
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna