Il y a un incontestable "vis comica".
Mon perso par contre ça ne le fait pas du tout rire. Il a assez vu de soldats perdre la raison pour faire comme si de rien n´était. J´ai employé déraison pour ne pas mettre folie qui serait trop fort. Il appelle un chat un chat en y mettant quand même les formes. Pour la partie majordome je change: il ne s´adresse qu´a lui à voix basse et en préambule indique qu´il doit parler d´un sujet gênant, mais que son "honneur de médecin" (même s´il n´a jamais exercé en dehors de l´armée et n´a pas fait le serment d´hyppocrate) lui oblige d´évoquer. Et là il demande si "Monsieur consulte quelqu´un".
Pour le passage précedent je change aussi. En réaction à la remarque de Rivière, il indique seulement que "souvent les esprits les plus brillants sont les plus excentriques, et frôlent les royaumes de la déraison. Nous venons d´en avoir l´exemple avec l´entrée fracassante de notre hôte.
Mon perso par contre ça ne le fait pas du tout rire. Il a assez vu de soldats perdre la raison pour faire comme si de rien n´était. J´ai employé déraison pour ne pas mettre folie qui serait trop fort. Il appelle un chat un chat en y mettant quand même les formes. Pour la partie majordome je change: il ne s´adresse qu´a lui à voix basse et en préambule indique qu´il doit parler d´un sujet gênant, mais que son "honneur de médecin" (même s´il n´a jamais exercé en dehors de l´armée et n´a pas fait le serment d´hyppocrate) lui oblige d´évoquer. Et là il demande si "Monsieur consulte quelqu´un".
Pour le passage précedent je change aussi. En réaction à la remarque de Rivière, il indique seulement que "souvent les esprits les plus brillants sont les plus excentriques, et frôlent les royaumes de la déraison. Nous venons d´en avoir l´exemple avec l´entrée fracassante de notre hôte.