27/04/2014, 12:30
(Modification du message : 27/04/2014, 12:36 par ashimbabbar.)
Ça avait d’abord été un projet DF sous le titre The Thief of Arantis: Dave l'avait présenté en 1989, il avait été refusé, il en a fait un Destin en 1994. Voilà ce que j’ai lu à ce sujet.
< vu que je ne sais pas ce qui en a été gardé dans le Destins, je mets le lot en spoiler >
< vu que je ne sais pas ce qui en a été gardé dans le Destins, je mets le lot en spoiler >
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Spoiler
Notre perso y était un capitaine de navire qui, débarquant dans un des plus riches ports du royaume pseudo-1001 nuits d’Arantis, entend parler d’un œuf merveilleux plu gros qu’une maison, pondu par le fabuleux Roc et qui, dit-on, rend la jeunesse et apoorte la bonne fortune. Un simple éclat de coquille se négocierait à 10.000 pièces d’or ou plus [ rien à voir mais j’imagine assez le baron S. remettre solennellement un bout de coquille au vainqueur… ]. Le problème étant que personne n’est très sûr où trouver cet œuf; mais cela n’arrête pas notre héros qui part à sa recherche.
Naturellement, il fait naufrage sur une côte inaccessible, où il est recueilli par un magicien à qui il raconte son histoire. Jugeant que sa survie est un signe de la faveur des dieux, ce brave homme nous donne une paire de babouches de lévitation utilisables une(1) fois - de quoi nous permettre d’atteindre le nid du Roc [ pour en descendre, par contre, je ne vois pas trop… ]
Malheureusement, à peine notre héros est-il arrivé dans la cité la plus proche [ il a fait naufrage et la côte est inaccessible, alors ne me demandez pas comment ] qu’il est pris pour le voleur qui a dérobé un rubis magnifique dans le trésor du sultan. En prison, il discute avec un mendiant qui lui raconte une histoirecomme quoi le Roc est devenu son ami, et il peut lui parler de ses babouches magiques.
- s’il ne le fait pas, il peut les utiliser pour s’évader [ apparemment c’est une prison à ciel ouvert ]. Apparemment c’est un PFA à plus ou moins longue échéance.
- s’il ne le fait pas et ne les utilise pas: je suppose que le mendiant est envoyé se faire pendre ailleurs et qu’on passe au cas suivant ?
- s’il le fait, le mendiant les lui vole et s’évade en les utilisant, ne laissant derrière lui qu’un chat pelé. Notre héros reste à pourrir là pendant une semaine jusqu’à ce qu’on attrape le véritable voleur, un certain Azenomeï, mais les gardes ont décidé que nous étions coupable de quelque chose et donc pas question de nous relâcher. Nous discutons avec Azenomeï et il nous propose de nous évader de concert après quoi il nous aidera à obtenir l’œuf du Roc, à condition que nous l’aidions d’abord à sauver sa sœur qu’un Djinn a kidnappé dans sa citadelle à l’ouest de la Plaine de Bronze.
Si nous acceptons [ et si nous refusons ? on peut croire qu’on restera là ad vitam æternam, mais… ], nous nous évadons et après une semaine nous atteignons une oasis du Désert des Crânes. Nous n’y sommes pas seule - il y a là une princesse nomade qui convoque le héros dans sa tente, mais pas de chance c’est une goule en fait [ il a lu mon Sindbad, je proteste ] - résultat nous devons fuir sans avoir pu remplir nos outres d’eau.
Quelque jour après, on arrive, toujours en compagnie d’Azenomeï à un oasis au crépuscule: un inconnu dit à notre héros qu’il a atteint l’Oasis Au-Delà du Mirage, et il voit son reflet dans l’eau accompagné d’un homme mauvais aux yeux dorés. Quand ils se réveillent, plus d’oasis ni rien, mais maintenant leurs outres sont remplies d’eau…
Quelques aventures plus loin, ils atteignent le château du Djinn, un labyrinthe de couloirs vides où nous perdons de vue Azenomeï. Finalement, nous atteignons une chambre parfumée où nous trouvons la jeune fille mollement couchée sur un divan où elle est attachée par une chaîne d’or. Nous trouvons aussi Azenomeï, et si vous n’aviez pas deviné que c’était lui le Djinn vous devriez avoir honte.
Il se trouve que ce crétin de Djinn nous prend pour le voleur qui, avant de s’emparer de la gemme du sultan, lui en avait volé une à lui - “aussi grosse que l’œuf du Roc qui a son nid sur le plus haut pic de l’Île des Palmiers dans le golfe de Shamuz” INDICE ! - bref il va falloir se battre, et pour avoir une chance il faut avoir collecté certains objets. Bonne surprise quand même, la jeune fille connaît la magie de combat et nous file un coup de main.
En admettant qu’on remporte la victoire, elle nous apprend qu’elle est en réalité la fille du sultan et que la seule chose qui peut la libérer est une clef ornée de joyaux, laquelle se truve dans le nid du Roc… comment ça, vous n’êtes pas surpris ?
Une fois sur l’île, encore faut-il grimper au nid: les babouches sont le moyen le plus évident, mais SI on a agrdé le chat pelé du mendiant, SI on a été gentil avec lui et SI on a appris en chemin que sa queue s’allonge quand il entend mentir ( le plus extravagant le mensonge le plus elle pousse ), on peut y arriver comme ça aussi. Words cannot describe.
Une fois dans le nid, on peut choisir entre un morceau d’œuf et laisser pourir la gonzesse dans le palais du Djinn - fin 1: on est pété de thunes - et la clef - fin 2: on la ramène au sultan, il nous fait vizir, on ets pété de thunes ( on épouse la gonzesse aussi j’imagine ) et en plus on a la réputation d’être le voleur le plus audacieux du monde. Qui dit mieux ?
Notre perso y était un capitaine de navire qui, débarquant dans un des plus riches ports du royaume pseudo-1001 nuits d’Arantis, entend parler d’un œuf merveilleux plu gros qu’une maison, pondu par le fabuleux Roc et qui, dit-on, rend la jeunesse et apoorte la bonne fortune. Un simple éclat de coquille se négocierait à 10.000 pièces d’or ou plus [ rien à voir mais j’imagine assez le baron S. remettre solennellement un bout de coquille au vainqueur… ]. Le problème étant que personne n’est très sûr où trouver cet œuf; mais cela n’arrête pas notre héros qui part à sa recherche.
Naturellement, il fait naufrage sur une côte inaccessible, où il est recueilli par un magicien à qui il raconte son histoire. Jugeant que sa survie est un signe de la faveur des dieux, ce brave homme nous donne une paire de babouches de lévitation utilisables une(1) fois - de quoi nous permettre d’atteindre le nid du Roc [ pour en descendre, par contre, je ne vois pas trop… ]
Malheureusement, à peine notre héros est-il arrivé dans la cité la plus proche [ il a fait naufrage et la côte est inaccessible, alors ne me demandez pas comment ] qu’il est pris pour le voleur qui a dérobé un rubis magnifique dans le trésor du sultan. En prison, il discute avec un mendiant qui lui raconte une histoirecomme quoi le Roc est devenu son ami, et il peut lui parler de ses babouches magiques.
- s’il ne le fait pas, il peut les utiliser pour s’évader [ apparemment c’est une prison à ciel ouvert ]. Apparemment c’est un PFA à plus ou moins longue échéance.
- s’il ne le fait pas et ne les utilise pas: je suppose que le mendiant est envoyé se faire pendre ailleurs et qu’on passe au cas suivant ?
- s’il le fait, le mendiant les lui vole et s’évade en les utilisant, ne laissant derrière lui qu’un chat pelé. Notre héros reste à pourrir là pendant une semaine jusqu’à ce qu’on attrape le véritable voleur, un certain Azenomeï, mais les gardes ont décidé que nous étions coupable de quelque chose et donc pas question de nous relâcher. Nous discutons avec Azenomeï et il nous propose de nous évader de concert après quoi il nous aidera à obtenir l’œuf du Roc, à condition que nous l’aidions d’abord à sauver sa sœur qu’un Djinn a kidnappé dans sa citadelle à l’ouest de la Plaine de Bronze.
Si nous acceptons [ et si nous refusons ? on peut croire qu’on restera là ad vitam æternam, mais… ], nous nous évadons et après une semaine nous atteignons une oasis du Désert des Crânes. Nous n’y sommes pas seule - il y a là une princesse nomade qui convoque le héros dans sa tente, mais pas de chance c’est une goule en fait [ il a lu mon Sindbad, je proteste ] - résultat nous devons fuir sans avoir pu remplir nos outres d’eau.
Quelque jour après, on arrive, toujours en compagnie d’Azenomeï à un oasis au crépuscule: un inconnu dit à notre héros qu’il a atteint l’Oasis Au-Delà du Mirage, et il voit son reflet dans l’eau accompagné d’un homme mauvais aux yeux dorés. Quand ils se réveillent, plus d’oasis ni rien, mais maintenant leurs outres sont remplies d’eau…
Quelques aventures plus loin, ils atteignent le château du Djinn, un labyrinthe de couloirs vides où nous perdons de vue Azenomeï. Finalement, nous atteignons une chambre parfumée où nous trouvons la jeune fille mollement couchée sur un divan où elle est attachée par une chaîne d’or. Nous trouvons aussi Azenomeï, et si vous n’aviez pas deviné que c’était lui le Djinn vous devriez avoir honte.
Il se trouve que ce crétin de Djinn nous prend pour le voleur qui, avant de s’emparer de la gemme du sultan, lui en avait volé une à lui - “aussi grosse que l’œuf du Roc qui a son nid sur le plus haut pic de l’Île des Palmiers dans le golfe de Shamuz” INDICE ! - bref il va falloir se battre, et pour avoir une chance il faut avoir collecté certains objets. Bonne surprise quand même, la jeune fille connaît la magie de combat et nous file un coup de main.
En admettant qu’on remporte la victoire, elle nous apprend qu’elle est en réalité la fille du sultan et que la seule chose qui peut la libérer est une clef ornée de joyaux, laquelle se truve dans le nid du Roc… comment ça, vous n’êtes pas surpris ?
Une fois sur l’île, encore faut-il grimper au nid: les babouches sont le moyen le plus évident, mais SI on a agrdé le chat pelé du mendiant, SI on a été gentil avec lui et SI on a appris en chemin que sa queue s’allonge quand il entend mentir ( le plus extravagant le mensonge le plus elle pousse ), on peut y arriver comme ça aussi. Words cannot describe.
Une fois dans le nid, on peut choisir entre un morceau d’œuf et laisser pourir la gonzesse dans le palais du Djinn - fin 1: on est pété de thunes - et la clef - fin 2: on la ramène au sultan, il nous fait vizir, on ets pété de thunes ( on épouse la gonzesse aussi j’imagine ) et en plus on a la réputation d’être le voleur le plus audacieux du monde. Qui dit mieux ?
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna