21/02/2014, 23:45
Donc.
Les fautes de français et tournures bizarres, on en a déjà parlé, mais c’est en forgeant, etc.
Aussi quelques distractions, eg au §75 les gants du squelette sont de cuivre quand au §216 et par la suite ils sont de cuir.
Alors il y a les occidentaux, qui sont les gentils; et les orientaux, qui sont les méchants envahisseurs. C’est facile à comprendre
Cette aventure n’est pas un OTP, mais elle favorise une exploration méthodique pour découvrir le meilleur itinéraire: soit. Le problème est qu’elle ne va pas toujours jusqu’au bout de sa logique - par exemple, si on a été arrêté au banquet et qu’une fois libéré on n’a pas le bon code pour franchir cette fameuse porte, on retourne au §391 - les événements d’hier ne laissent aucune conséquence, et on peut revenir au dortoir en une boucle infinie… ou bien, on peut tuer les mêmes mercenaires encore et encore. Il aurait fallu des paragraphes supplémentaires pour gérer cela, peut-être aussi un système de temps comme l’a suggéré Outremer ( tel personnage à tel endroit à tel moment… ).
Elle présente aussi un sérieux problème de vraisemblance, en ce que nous sommes un ado qui a 3 loups à son actif et une HAB supérieure ou égale à celle de mercenaires surentraînés… Je m’attendais notre épée se révèle magique et que ceci explique cela, mais pas du tout. C’est un sérieux point noir à mon avis…
J’aime bien la confrontation avec Yannick - là tu as trouvé la note juste, c’est un moment vraiment glauque.
Les moments avec notre père sont pas mal aussi, je pense que tu réussis à nous faire sentir que bon sang, c’est notre père qui délire à pleins tubes. ( Et le coup de la peluche nous rappelle quand nous n’étions qu’un gosse et que tout allait bien… )
Ça aurait été drôle si
Les fautes de français et tournures bizarres, on en a déjà parlé, mais c’est en forgeant, etc.
Aussi quelques distractions, eg au §75 les gants du squelette sont de cuivre quand au §216 et par la suite ils sont de cuir.
Alors il y a les occidentaux, qui sont les gentils; et les orientaux, qui sont les méchants envahisseurs. C’est facile à comprendre
Cette aventure n’est pas un OTP, mais elle favorise une exploration méthodique pour découvrir le meilleur itinéraire: soit. Le problème est qu’elle ne va pas toujours jusqu’au bout de sa logique - par exemple, si on a été arrêté au banquet et qu’une fois libéré on n’a pas le bon code pour franchir cette fameuse porte, on retourne au §391 - les événements d’hier ne laissent aucune conséquence, et on peut revenir au dortoir en une boucle infinie… ou bien, on peut tuer les mêmes mercenaires encore et encore. Il aurait fallu des paragraphes supplémentaires pour gérer cela, peut-être aussi un système de temps comme l’a suggéré Outremer ( tel personnage à tel endroit à tel moment… ).
Elle présente aussi un sérieux problème de vraisemblance, en ce que nous sommes un ado qui a 3 loups à son actif et une HAB supérieure ou égale à celle de mercenaires surentraînés… Je m’attendais notre épée se révèle magique et que ceci explique cela, mais pas du tout. C’est un sérieux point noir à mon avis…
J’aime bien la confrontation avec Yannick - là tu as trouvé la note juste, c’est un moment vraiment glauque.
Les moments avec notre père sont pas mal aussi, je pense que tu réussis à nous faire sentir que bon sang, c’est notre père qui délire à pleins tubes. ( Et le coup de la peluche nous rappelle quand nous n’étions qu’un gosse et que tout allait bien… )
Ça aurait été drôle si
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna