26/01/2014, 17:11
Ça va un peu vite pour moi depuis deux jours. ^^ (Je poste depuis mon téléphone depuis la fin de la bataille.)
Le chasseur reprend la parole :
« Je suis enclin à le croire lorsqu’il dit que sa sœur est en sécurité. Inutile de foncer à l’aveugle. Agissons mais ne la mettons pas en danger en nous laissant submerger par nos émotions. »
« Néanmoins, je m’oppose fermement à l’idée de le laisser seul. Il a prouvé qu’il était dangereux et qu’il pouvait tuer sans remords. Il est pour moi hors de question de lui faire confiance. Nous déciderons de son sort lorsque nous aurons retrouvé sa sœur. Elle doit avoir son mot à dire. »
Actéon se retourne alors vers le garde le plus véhément :
« Croyez-moi, je comprends votre colère et votre douleur. Je ne comprends pas, en revanche, votre empressement à vouloir ôter la vie de ce jeune homme, quel qu’il soit. Vous venez de déclarer que vous le considériez bien comme le fils de votre seigneur. Il a commis de nombreux crimes, certes, mais cela justifie-t-il de l’abattre comme un chien ? Même le pire des criminels aurait droit à plus d’égards. Sa… nature particulière ne justifie pas tout. Qu’a-t-il pu faire pour que votre maître éprouve une telle haine envers lui ? Son propre sang ; sa propre chair, même ? »
Le chasseur reprend la parole :
« Je suis enclin à le croire lorsqu’il dit que sa sœur est en sécurité. Inutile de foncer à l’aveugle. Agissons mais ne la mettons pas en danger en nous laissant submerger par nos émotions. »
« Néanmoins, je m’oppose fermement à l’idée de le laisser seul. Il a prouvé qu’il était dangereux et qu’il pouvait tuer sans remords. Il est pour moi hors de question de lui faire confiance. Nous déciderons de son sort lorsque nous aurons retrouvé sa sœur. Elle doit avoir son mot à dire. »
Actéon se retourne alors vers le garde le plus véhément :
« Croyez-moi, je comprends votre colère et votre douleur. Je ne comprends pas, en revanche, votre empressement à vouloir ôter la vie de ce jeune homme, quel qu’il soit. Vous venez de déclarer que vous le considériez bien comme le fils de votre seigneur. Il a commis de nombreux crimes, certes, mais cela justifie-t-il de l’abattre comme un chien ? Même le pire des criminels aurait droit à plus d’égards. Sa… nature particulière ne justifie pas tout. Qu’a-t-il pu faire pour que votre maître éprouve une telle haine envers lui ? Son propre sang ; sa propre chair, même ? »