12/04/2013, 11:00
personnellement,
- l'intro: rien à dire de particulier, mais les portraits parlants je ne les sens pas.
- les points de Peur: comme je le disais, ce dispositif ou un autre était nécessaire dans un LDVH d'horreur. Comme tu le remarques, si on commence avec 7 on est condamné dès le départ: je pense qu'il aurait mieux valu un système de tests analogue à la Chance.
Maintenant, la nature d'OTP meurtrier et arbitraire du livre impliquant qu'on doive sacrifier des dizaines de persos pour le faire à la loyale, que certains soient condamnés d'entrée en jeu n'est pas un aussi grand reproche que dans une aventure plus facile.
- les lieux: Scoubidou, on ne reviendra pas dessus.
- le bossu: le serviteur bossu et vil est un des clichés les plus épuisés du répertoire, il pousse le facteur scoubidou jusqu'à l'exponentiel
- Rafferty: on ne peut pas dire qu'il m'ait frappé
- le combat final: il y a certes une très petite subtilité ( car celui qui est arrivé jusque-là a appris quelque chose sur les choix évidents et donc, puisque le choix lui est proposé, attaquera logiquement le valet, en outre s'il attaque le comte et voit l e résultat je doute qu'il veuille tout reprendre à zéro sans tricher, il reviendra plutôt en arrière… ) mais l'illustration particulièrement ratée du démon démoralise le lecteur qui est arrivé jusque-là, on ne peut pas dire que ce LDVH récompense le succès ( mistergreen ! )
- le kriss: au niveau du concept, c'est il est vrai une réussite: que l'objet rituel qui permet de détruire le démon soit aussi indispensable dans les cérémonies en son honneur est une justification élégante pour sa présence dans le manoir. Mais au niveau du gameplay les précautions prises pour le dissimuler sont celles que les méchants de LDVH prennent pour un objet qui leur est et nuisible et inutile. Il y a donc discordance, d'autant que pour ce qui est à leurs yeux un objet sacré il n'est pas traité avec un respect extrême… Personnellement, je l'aurais bien vu dans un coffre doublé de velours rouge ou noir avec le reste de la panoplie du grand-maître.
- l'infiltration: il faudrait que je reprenne le livre ( sinistre perspective… )
- l'intro: rien à dire de particulier, mais les portraits parlants je ne les sens pas.
- les points de Peur: comme je le disais, ce dispositif ou un autre était nécessaire dans un LDVH d'horreur. Comme tu le remarques, si on commence avec 7 on est condamné dès le départ: je pense qu'il aurait mieux valu un système de tests analogue à la Chance.
Maintenant, la nature d'OTP meurtrier et arbitraire du livre impliquant qu'on doive sacrifier des dizaines de persos pour le faire à la loyale, que certains soient condamnés d'entrée en jeu n'est pas un aussi grand reproche que dans une aventure plus facile.
- les lieux: Scoubidou, on ne reviendra pas dessus.
- le bossu: le serviteur bossu et vil est un des clichés les plus épuisés du répertoire, il pousse le facteur scoubidou jusqu'à l'exponentiel
- Rafferty: on ne peut pas dire qu'il m'ait frappé
- le combat final: il y a certes une très petite subtilité ( car celui qui est arrivé jusque-là a appris quelque chose sur les choix évidents et donc, puisque le choix lui est proposé, attaquera logiquement le valet, en outre s'il attaque le comte et voit l e résultat je doute qu'il veuille tout reprendre à zéro sans tricher, il reviendra plutôt en arrière… ) mais l'illustration particulièrement ratée du démon démoralise le lecteur qui est arrivé jusque-là, on ne peut pas dire que ce LDVH récompense le succès ( mistergreen ! )
- le kriss: au niveau du concept, c'est il est vrai une réussite: que l'objet rituel qui permet de détruire le démon soit aussi indispensable dans les cérémonies en son honneur est une justification élégante pour sa présence dans le manoir. Mais au niveau du gameplay les précautions prises pour le dissimuler sont celles que les méchants de LDVH prennent pour un objet qui leur est et nuisible et inutile. Il y a donc discordance, d'autant que pour ce qui est à leurs yeux un objet sacré il n'est pas traité avec un respect extrême… Personnellement, je l'aurais bien vu dans un coffre doublé de velours rouge ou noir avec le reste de la panoplie du grand-maître.
- l'infiltration: il faudrait que je reprenne le livre ( sinistre perspective… )
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna