J'ai le même défaut que Tholdur, à savoir cette tendance à plus détailler ce qui ne va pas que ce qui est réussi. Ce qui coince mérite des explications; ce qui coule, coule tout seul (me semble-t-il).
Pour répondre au ressenti de Maléfisse, je comprends la position fragile dans laquelle on se sent quand on s'expose; mais l'acte critique n'est pas de la méchanceté ou un acte de rejet, il ne faut ni lui donner cette teinte ni cette importance émotionnelle. C'est au contraire un service que l'on rend: on lui tend les outils pour s'améliorer.
La vulnérabilité aux critiques est une question d'égo avant tout. Il est plus simple d'accepter que l'on n'est pas parfait que d'exiger que les miroirs que sont les lecteurs renvoient une image narcissique trop convoitée. Le premier choix (allez au §100) nous place en position d'écoute et d'amélioration personnelle, le second (allez au §13) nous plonge dans un monde d'illusions qui classifie nécessairement les gens en flagorneurs ou en hostiles!
Juste mes deux centimes!
Quant aux critiques à destination d'un public large, sensées le guider dans ses choix de lecture, c'est autre chose. La critique médiatisée a un tel impact que relever le moindre défaut revient à descendre la vie commerciale de l’œuvre - et là, on peut plus facilement parler de se faire des ennemis! ^ ^
Pour répondre au ressenti de Maléfisse, je comprends la position fragile dans laquelle on se sent quand on s'expose; mais l'acte critique n'est pas de la méchanceté ou un acte de rejet, il ne faut ni lui donner cette teinte ni cette importance émotionnelle. C'est au contraire un service que l'on rend: on lui tend les outils pour s'améliorer.
La vulnérabilité aux critiques est une question d'égo avant tout. Il est plus simple d'accepter que l'on n'est pas parfait que d'exiger que les miroirs que sont les lecteurs renvoient une image narcissique trop convoitée. Le premier choix (allez au §100) nous place en position d'écoute et d'amélioration personnelle, le second (allez au §13) nous plonge dans un monde d'illusions qui classifie nécessairement les gens en flagorneurs ou en hostiles!
Juste mes deux centimes!
Quant aux critiques à destination d'un public large, sensées le guider dans ses choix de lecture, c'est autre chose. La critique médiatisée a un tel impact que relever le moindre défaut revient à descendre la vie commerciale de l’œuvre - et là, on peut plus facilement parler de se faire des ennemis! ^ ^