02/12/2012, 13:11
(Modification du message : 03/12/2012, 22:48 par Lyzi Shadow.)
ART a écrit :C'est vrai que la fiction est volumineuse, mais c'est une contrepartie obligatoire pour les deux systèmes d'écriture que j'ai mis au point :
-le système Roots, qui intègre entièrement les règles au récit. Plus besoin de dés ou de table de hasard.
-le système Corporation, qui propose une méthode assez originale de gestion de l'équipement et des compétences.
Le plus : une lecture quasi-ininterrompue
L'inconvénient (si tant est qu'on le considère comme tel) : un volume beaucoup plus important.
@ART
J'ai pu constater qu'un nombre important de paragraphes est surtout un inconvénient parce qu'il fait peur aux gens. Conspiration au KGB est une aventure au final assez courte (d'autant qu'elle est très linéaire), mais plusieurs personnes m'ont dit qu'ils n'ont pas eu le courage de l'entamer parce que 1015§ c'est trop long. Sauf que ce volume est illusoire, voire artificielle, puisque j'ai voulu effectivement interrompre le moins possible le récit avec des tests et des demandes de mot de passe. L'AVH "garde en mémoire", pour ainsi dire, les choses qu'on a faites et l'ordre dans lequel on les a faites, pour éviter, par exemple, d'avoir deux fois la même description donnée au joueur, ou pour avoir un raisonnement du héros cohérent (j'ai vu ça puis ça donc ça veut dire ça). Résultat, de nombreux paragraphes sont quasi identiques avec quelques changements selon ce qui a déjà été demandé avant dans les interrogatoires, ou les objets que détient le personnage.
De plus, il y a quand même quelques "mots de passe", et le système que j'ai mis pour demander le mdp au joueur prend également beaucoup de place.
Au final, l'AVH ne doit pas être plus longue à jouer qu'une AVH de 400§ (mais avec peut-être plus d'essais, car la difficulté est proche d'un OTP), mais 1015§ fait fuir les lecteurs...
Mr. Shadow
Doux mon cœur, fermes mes intentions -mantra psi