- Fautes et lourdeur de style. Elles ont tendance à me sauter aux yeux et à déclencher des pulsions de correction qui me sortent complètement de ce que je lis. J'ai une TRÈS faible tolérance à ces erreurs, j'atteinds très vite le stade où elles m'empêchent de me plonger dans l'histoire et me font constamment passer en mode "correcteur".
- Manque de réalisme/crédibilité/cohérence/logique. Je suis également particulièrement intransigeant et irascible sur ces points, j'ai une sainte horreur des trous de scénarios, des évènements/situations improbables, des deus ex machina, des coïncidences commodes, des réactions illogiques, des plans foireux qui marchent, des absurdités présentées comme des vérités évidentes, etc.
Tout comme le point précédent, ça me pourris la lecture extrêmement vite, et ça me sort complètement de l'histoire en me faisant rager.
D'ailleurs, ce côté me gâche un nombre non négligeable de films/livres/animés et compagnie, je ne peux juste pas supporter un scénario illogique et incohérent, ou des personnages qui n'agissent pas en fonction de leurs caractères - ça me rend particulièrement impossible à encaisser les fillers ou les histoires rajoutées qui voient des changements assez majeurs dans les thèmes et les personnages par rapport à l'histoire originale.
- L'écriture expiditive. Quand on a l'impression qu'on est juste devant une série de lignes de commandes ("Vous arrivez devant un garde. Allez-vous l'attaquer (allez au X) ou continuer (allez au Y) ?"). Aucun effort pour faire entrer le lecteur dans la peau du personnage, aucune impression d'y être. Bleh.
- Et également, l'écriture inutilement précieuse (essayer de faire de grandes phrases avec plein de tournures pesantes pour faire comme si on était un grand écrivain). C'est juste artificiel et pédant.
- Enfin, les clichés. Je supporte les classiques s'ils sont bien traîtés (sauver la princesse, aucun problème ; tuer le sorcier, aucun problème ; le donjon final, aucun problème ; le monde ultra-conventionnel avec les nains, les elfes et les orques, aucun problème), mais les trucs qu'on voit venir à dix bornes et qui sont usés jusqu'à la moëlle, je peux pas (le mec gratuitement désagréable avec le héros qui est donc forcément le traitre, le gars qui montre la photo de sa femme et sa fille juste avant une bataille et qui donc meurt, etc.).
En gros, le scénario ne me gène pas quelque-soit son niveau de classicisme, mais il faut qu'il soit bien traîté.
Les règles, j'ai même tendance à préférer celles qui sont longuement développées et complexes (je relis souvent les bouquins de règles de JdR, les trucs de 300 pages uniquement sur les règles là, juste pour le plaisir après tout), mais je peux également tout à fait apprécier celles qui tiennent en quelques lignes, voire aucune règle du tout.
- Manque de réalisme/crédibilité/cohérence/logique. Je suis également particulièrement intransigeant et irascible sur ces points, j'ai une sainte horreur des trous de scénarios, des évènements/situations improbables, des deus ex machina, des coïncidences commodes, des réactions illogiques, des plans foireux qui marchent, des absurdités présentées comme des vérités évidentes, etc.
Tout comme le point précédent, ça me pourris la lecture extrêmement vite, et ça me sort complètement de l'histoire en me faisant rager.
D'ailleurs, ce côté me gâche un nombre non négligeable de films/livres/animés et compagnie, je ne peux juste pas supporter un scénario illogique et incohérent, ou des personnages qui n'agissent pas en fonction de leurs caractères - ça me rend particulièrement impossible à encaisser les fillers ou les histoires rajoutées qui voient des changements assez majeurs dans les thèmes et les personnages par rapport à l'histoire originale.
- L'écriture expiditive. Quand on a l'impression qu'on est juste devant une série de lignes de commandes ("Vous arrivez devant un garde. Allez-vous l'attaquer (allez au X) ou continuer (allez au Y) ?"). Aucun effort pour faire entrer le lecteur dans la peau du personnage, aucune impression d'y être. Bleh.
- Et également, l'écriture inutilement précieuse (essayer de faire de grandes phrases avec plein de tournures pesantes pour faire comme si on était un grand écrivain). C'est juste artificiel et pédant.
- Enfin, les clichés. Je supporte les classiques s'ils sont bien traîtés (sauver la princesse, aucun problème ; tuer le sorcier, aucun problème ; le donjon final, aucun problème ; le monde ultra-conventionnel avec les nains, les elfes et les orques, aucun problème), mais les trucs qu'on voit venir à dix bornes et qui sont usés jusqu'à la moëlle, je peux pas (le mec gratuitement désagréable avec le héros qui est donc forcément le traitre, le gars qui montre la photo de sa femme et sa fille juste avant une bataille et qui donc meurt, etc.).
En gros, le scénario ne me gène pas quelque-soit son niveau de classicisme, mais il faut qu'il soit bien traîté.
Les règles, j'ai même tendance à préférer celles qui sont longuement développées et complexes (je relis souvent les bouquins de règles de JdR, les trucs de 300 pages uniquement sur les règles là, juste pour le plaisir après tout), mais je peux également tout à fait apprécier celles qui tiennent en quelques lignes, voire aucune règle du tout.
La violence n'est pas la bonne réponse !
La violence est la question. La bonne réponse est "oui".
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