24/11/2011, 13:40
J'ai failli devenir fou sur la première moitié du quatrième tome de la Venue du Froid sans Fin. Autant mes avh précédentes avaient surtout souffert d'une motivation oscillante (mon monde du Daleth, fini grâce au soutien/harcélement d'Aragorn) ou d'une construction trop floue (les Ailes de Morphée), autant j'ai vraiment coincé sur le début de VFF4.
Oiseau m'avait fourni un balisage propre de l'aventure, rien à dire à ce sujet. La thématique était claire, les passages obligatoires également. Tout était en ordre scénaristiquement. Mais quand il a fallu écrire les éléments se déroulant sur un champ de bataille où s'affrontent deux terribles armées, j'ai violemment coincé.
Mon problème se trouvait dans l'aspect jeu. Je n'arrivais juste pas à trouver une structure qui permette de rendre les événements sans tomber dans une spirale d'enchaînements de combats aléatoires. Je voulais quelque chose de non-linéaire, où le lecteur puisse avoir l'impression que ses actions aient un intérêt, et en même temps, il fallait le contraindre à se replier devant la menace. Et je m'étais imposé de ne pas trop dépasser la limite de 150 paragraphes... D'autant plus rageant que Oiseau, dont je devais imiter le style était au contraire très à l'aise avec toutes ces contraintes.
Après avoir une dizaine de faux départs, où les cinq à dix premiers paragraphes étaient systèmatiquement réécrits, j'ai tout de même réussi à produire quelque chose, mais loin de mes espèrances. En-dehors d'une seule bonne idée qui aurait probablemet mérité d'être creusée, cette première moitié manque cruellement d'originalité et de liberté d'action. Enfin, c'est mon avis, forcément partial, en tant d'auteur.
Oiseau m'avait fourni un balisage propre de l'aventure, rien à dire à ce sujet. La thématique était claire, les passages obligatoires également. Tout était en ordre scénaristiquement. Mais quand il a fallu écrire les éléments se déroulant sur un champ de bataille où s'affrontent deux terribles armées, j'ai violemment coincé.
Mon problème se trouvait dans l'aspect jeu. Je n'arrivais juste pas à trouver une structure qui permette de rendre les événements sans tomber dans une spirale d'enchaînements de combats aléatoires. Je voulais quelque chose de non-linéaire, où le lecteur puisse avoir l'impression que ses actions aient un intérêt, et en même temps, il fallait le contraindre à se replier devant la menace. Et je m'étais imposé de ne pas trop dépasser la limite de 150 paragraphes... D'autant plus rageant que Oiseau, dont je devais imiter le style était au contraire très à l'aise avec toutes ces contraintes.
Après avoir une dizaine de faux départs, où les cinq à dix premiers paragraphes étaient systèmatiquement réécrits, j'ai tout de même réussi à produire quelque chose, mais loin de mes espèrances. En-dehors d'une seule bonne idée qui aurait probablemet mérité d'être creusée, cette première moitié manque cruellement d'originalité et de liberté d'action. Enfin, c'est mon avis, forcément partial, en tant d'auteur.