08/06/2011, 20:17
Sinon, Headline s'est ce qui s'appelle lâché à fond dans Le Prince des Voleurs, premier volume de la saga Sindbad dont j'ai écrit le second avec tant de talent …
Sur l'Île des Hommes Noirs, Sindbad se retrouve contraint d'épouser Anesto, la fille adorée de Komanwatu, chef de la tribu des Pamaletwa ( oui c'est un Headline ). Cette jeune personne est très précisément décrite
" La belle Anesto est un peu plus petite que vous, mais pèse environ quatre fois plus ! Elle vous rappelle un peu un bébé cachalot auquel vous portiez beaucoup d'affection. Elle vous sourit de toutes ses dents cariées."
Quant à la nuit de noces elle-même, je laisse encore une fois la parole à Headline, conscient que dans le genre on saurait difficilement faire mieux
" Vous vous mettez donc à expliquer à l'imposante mariée à quel point vous la trouvez charmante et à quel point l'amour que vous lui portez éclipse le soleil et les étoiles - le tout en un langage qu'elle ne pourrait manquer de comprendre, même si elle n'était pas bilingue.
Vous êtes fier de vous, car Anesto semble apprécier vos arguments. Hélas, juste après la conclusion péremptoire de votre discours, et alors que vous croyez qu'elle va enfin s'assoupir, elle porte une main boudinée à sa poitrine. Écarqullant les yeux, elle s'exclame
<< Dieux du ciel, je brûle ! Je me meurs ! >>
Et avec un sens consommé de l'à-propos, elle rend effectivement le dernier soupir entre vos bras. Son cœur n'a pas résisté à la portée philosophique de votre démonstration !"
Nos relations ne sot pas moins intenses ( encore que, hélas, plus platoniques ) avec la fascinante Darke sur l'Île de Cristal… imaginez une femme pâle aux longs cheveux bruns, le bras droit revêtu d'un gant noir montant jusqu'à l'épaule, qui reste dans un immense palais de cristal et réalise des sculptures de cristal des voyageurs de passage…
Il se trouve qu'elle est la gardienne d'un des trois fragments du médaillon que nous devons retrouver, il faut donc lui dérober une clé et plusieurs méthodes sont possibles, hélas pas de profiter de son épuisement suite à nos ébats…
Incidemment, son gant recouvre un bras de cristal; elle a à se venger des hommes et les transforme pour de bon en statues de cristal… mais il est possible de s'emparer du morceau de édaillon sans jamais découvrir cette petite particularité ( de toute façon, elle y reste… )
Sur l'Île des Hommes Noirs, Sindbad se retrouve contraint d'épouser Anesto, la fille adorée de Komanwatu, chef de la tribu des Pamaletwa ( oui c'est un Headline ). Cette jeune personne est très précisément décrite
" La belle Anesto est un peu plus petite que vous, mais pèse environ quatre fois plus ! Elle vous rappelle un peu un bébé cachalot auquel vous portiez beaucoup d'affection. Elle vous sourit de toutes ses dents cariées."
Quant à la nuit de noces elle-même, je laisse encore une fois la parole à Headline, conscient que dans le genre on saurait difficilement faire mieux
" Vous vous mettez donc à expliquer à l'imposante mariée à quel point vous la trouvez charmante et à quel point l'amour que vous lui portez éclipse le soleil et les étoiles - le tout en un langage qu'elle ne pourrait manquer de comprendre, même si elle n'était pas bilingue.
Vous êtes fier de vous, car Anesto semble apprécier vos arguments. Hélas, juste après la conclusion péremptoire de votre discours, et alors que vous croyez qu'elle va enfin s'assoupir, elle porte une main boudinée à sa poitrine. Écarqullant les yeux, elle s'exclame
<< Dieux du ciel, je brûle ! Je me meurs ! >>
Et avec un sens consommé de l'à-propos, elle rend effectivement le dernier soupir entre vos bras. Son cœur n'a pas résisté à la portée philosophique de votre démonstration !"
Nos relations ne sot pas moins intenses ( encore que, hélas, plus platoniques ) avec la fascinante Darke sur l'Île de Cristal… imaginez une femme pâle aux longs cheveux bruns, le bras droit revêtu d'un gant noir montant jusqu'à l'épaule, qui reste dans un immense palais de cristal et réalise des sculptures de cristal des voyageurs de passage…
Il se trouve qu'elle est la gardienne d'un des trois fragments du médaillon que nous devons retrouver, il faut donc lui dérober une clé et plusieurs méthodes sont possibles, hélas pas de profiter de son épuisement suite à nos ébats…
Incidemment, son gant recouvre un bras de cristal; elle a à se venger des hommes et les transforme pour de bon en statues de cristal… mais il est possible de s'emparer du morceau de édaillon sans jamais découvrir cette petite particularité ( de toute façon, elle y reste… )
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna