(02/06/2011, 09:27)Lyzi Shadow a écrit : "Ne vous battez pas compagnons ! " implore Agrias à Thermodossa et Actéon, quand il voit le regard noir que celle-ci lui lance.
Puis s'écartant d'eux de quelques pas :
"Pourquoi nous suis tu, créature ? Que nous veux tu ?" demande-t-il à la Nymphe.
Son ton n'est ni inquisiteur, ni amical.
La femme, de petite taille, vous observe une bonne minute sans bouger. Puis elle va vers les fougères et y ramasse le javelot de l'amazone.
Elle s’approche alors de vous lentement, presque craintive, en tenant l'arme par un bout. Le râclement de la lame qui percute quelques cailloux se fait entendre...
Vous la distinguez plus précisement : son magnifique visage est encadré par une longue et fine chevelure vert-kaki qui ondule au gré de ses pas. La moindre brise fait envoler la pointe de ses cheveux. Ses yeux en amandes sont d'un vert profond ; alors que sa peau, qui vous semblait bronzée au premier abord, est plutôt brun-kaki, finissez-vous par décider. Son corps frêle est recouvert d'un fin vêtement composé de feuilles de jonc tressé. De jolies petites fleurs bleues ont fleuri sur ses épaules, et un lotus jaune vif repose au creux de ses seins menus, recouvrant ceux-ci de ses délicats pétales diaphanes. Des feuilles de nénuphars sont assemblées en une jolie jupe verte qui descend jusqu'à ses petits pieds nus recouverts de boue sèche. Vous constatez enfin, lorsqu'elle s'arrête à deux mètres de vous pour poser le javelot au sol, qu'elle a les doigts palmés. Sur sa hanche droite, une grosse tige de roseau taillée en biseau d'une vingtaine de centimètres est enchassée dans sa ceinture de stolons tressés.
- Vous êtes les premiers humains vraiment intéressants que je rencontre, dit-elle d'une voix chevrotante.
Son regard passe sur tous vos visages, mais reste un temps plus long sur le barde...
- Je pensais vous suivre, mais je vous ai dérangé. Je vous rends votre bout de bois et de fer. Excusez-moi...
Elle se retourne ensuite et commence à partir...
Elle s’approche alors de vous lentement, presque craintive, en tenant l'arme par un bout. Le râclement de la lame qui percute quelques cailloux se fait entendre...
Vous la distinguez plus précisement : son magnifique visage est encadré par une longue et fine chevelure vert-kaki qui ondule au gré de ses pas. La moindre brise fait envoler la pointe de ses cheveux. Ses yeux en amandes sont d'un vert profond ; alors que sa peau, qui vous semblait bronzée au premier abord, est plutôt brun-kaki, finissez-vous par décider. Son corps frêle est recouvert d'un fin vêtement composé de feuilles de jonc tressé. De jolies petites fleurs bleues ont fleuri sur ses épaules, et un lotus jaune vif repose au creux de ses seins menus, recouvrant ceux-ci de ses délicats pétales diaphanes. Des feuilles de nénuphars sont assemblées en une jolie jupe verte qui descend jusqu'à ses petits pieds nus recouverts de boue sèche. Vous constatez enfin, lorsqu'elle s'arrête à deux mètres de vous pour poser le javelot au sol, qu'elle a les doigts palmés. Sur sa hanche droite, une grosse tige de roseau taillée en biseau d'une vingtaine de centimètres est enchassée dans sa ceinture de stolons tressés.
- Vous êtes les premiers humains vraiment intéressants que je rencontre, dit-elle d'une voix chevrotante.
Son regard passe sur tous vos visages, mais reste un temps plus long sur le barde...
- Je pensais vous suivre, mais je vous ai dérangé. Je vous rends votre bout de bois et de fer. Excusez-moi...
Elle se retourne ensuite et commence à partir...
сыграем !