15/04/2011, 22:42
(Modification du message : 15/04/2011, 22:51 par Voyageur Solitaire.)
Salut JIN,
Je réponds à ton feedback avec un peu de retard (je viens de recycler mon brevet de secouriste et j'étais par conséquent absent pour quelques jours).
Il est certain que mon but premier était d'écrire une AVH immersive. C'est primordial pour moi que l'on y croit, que le monde proposé soit cohérent, crédible, dans ses moindres détails. J'ai donc clairement misé là-dessus, quitte à faire plus "roman" qu'AVH par moments. Il est vrai que cette AVH peut paraître assez courte, mais c'est dû à la non-linéarité et au fait que je voulais respecter la règle des 400 paragraphes. Il y a effectivement beaucoup de chemins possibles, beaucoup de choix différents, pour moi, c'est primordial, ça donne au lecteur un sentiment de liberté appréciable, je trouve. Le but était d'éviter le "one true path".
Il est vrai que le sentiment d'urgence n'est pas trés développé, c'est le gros point faible de l'aventure. Pour être franc, j'ai eu beaucoup de mal à "doser" cette aventure... Peur de faire trop facile, trop difficile, trop glauque ou pas assez, trop de combats ou pas... J'ai voulu insister sur la fuite, l'idée d'être poursuivi, traqué... Autre faute, c'est vrai, KLANETH n'est pas assez dévellopé. Pour les objets, je ne suis pas fan des aventures où le héros doit se trimballer tout un fourbi sur le dos. A part l'un des oeufs de verre coloré du centaure souffleur de verre, l'émeraude que l'on peut trouver dans le repaire de la Guilde des Voleurs ou la potion de contrôle des reptiles ou celle de l'élémental de l'air, il n'y a pas beaucoup d'objets à récupérer, c'est voulu. Pour TYUTCHEV, il n'est pas facile à trouver, il y a un chemin bien précis (d'ailleurs, on peut tomber sur lui à deux reprises).
Au final, j'ai clairement misé sur l'atmosphère du bouquin, sur l'ambiance, au détriment du reste. Vos nombreux feedback m'ont fait prendre conscience de ce déséquilibre que j'essaierai d'éviter dans "d'écume et de sang" où je tente de ne pas négliger la "structure" de l'aventure.
Petite remarque pour le côté glauque : j'ai quand-même pensé à toi avec les zombies dans les égoûts. Me dis pas que tu les as pas rencontré...
Il me reste à te remercier de ta lecture et de ta critique.
Je réponds à ton feedback avec un peu de retard (je viens de recycler mon brevet de secouriste et j'étais par conséquent absent pour quelques jours).
Il est certain que mon but premier était d'écrire une AVH immersive. C'est primordial pour moi que l'on y croit, que le monde proposé soit cohérent, crédible, dans ses moindres détails. J'ai donc clairement misé là-dessus, quitte à faire plus "roman" qu'AVH par moments. Il est vrai que cette AVH peut paraître assez courte, mais c'est dû à la non-linéarité et au fait que je voulais respecter la règle des 400 paragraphes. Il y a effectivement beaucoup de chemins possibles, beaucoup de choix différents, pour moi, c'est primordial, ça donne au lecteur un sentiment de liberté appréciable, je trouve. Le but était d'éviter le "one true path".
Il est vrai que le sentiment d'urgence n'est pas trés développé, c'est le gros point faible de l'aventure. Pour être franc, j'ai eu beaucoup de mal à "doser" cette aventure... Peur de faire trop facile, trop difficile, trop glauque ou pas assez, trop de combats ou pas... J'ai voulu insister sur la fuite, l'idée d'être poursuivi, traqué... Autre faute, c'est vrai, KLANETH n'est pas assez dévellopé. Pour les objets, je ne suis pas fan des aventures où le héros doit se trimballer tout un fourbi sur le dos. A part l'un des oeufs de verre coloré du centaure souffleur de verre, l'émeraude que l'on peut trouver dans le repaire de la Guilde des Voleurs ou la potion de contrôle des reptiles ou celle de l'élémental de l'air, il n'y a pas beaucoup d'objets à récupérer, c'est voulu. Pour TYUTCHEV, il n'est pas facile à trouver, il y a un chemin bien précis (d'ailleurs, on peut tomber sur lui à deux reprises).
Au final, j'ai clairement misé sur l'atmosphère du bouquin, sur l'ambiance, au détriment du reste. Vos nombreux feedback m'ont fait prendre conscience de ce déséquilibre que j'essaierai d'éviter dans "d'écume et de sang" où je tente de ne pas négliger la "structure" de l'aventure.
Petite remarque pour le côté glauque : j'ai quand-même pensé à toi avec les zombies dans les égoûts. Me dis pas que tu les as pas rencontré...
Il me reste à te remercier de ta lecture et de ta critique.
Anywhere out of the world