03/06/2010, 07:52
AVH n° 2 : Arkham of the Dead / Freddy Cash. Petite appréhension au départ de cette aventure, à la lecture du titre, de l’intro et des premiers paragraphes. Il est vrai que je suis régulièrement sujet à des crises « d’intégrisme poulpesque » lorsque l’on aborde Lovecraft. Inconditionnel du tentaculaire Grand Ancien et de l’œuvre du controversé écrivain de Providence, je garde une idée relativement étriquée (matinée d’un sérieux académique) quant à la manière avec laquelle on doit aborder la chose … On de badine pas avec le mythe !
A ce propos, petite transgression, avec ce reportage de ARTE concernant Lovecraft : Documentaire Lovecraft ARTE (en trois parties), qui peut amener à discussion d’ailleurs.
Bref, revenons à nos moutons ou plutôt à nos goules et autres zombis puisque l’aventure débute ainsi comme un bon vieux Romero. Pourtant l’histoire prend rapidement une tournure tout à fait inattendue, parfaitement menée tambour battant par l’auteur.
Beaucoup de rythme, de l’humour au vitriol qui colle chirurgicalement avec le style de l’aventure, des personnages secondaires hauts en couleur, une mécanique de narration digne d’un bon scénario Cthulhu saupoudrée de James Bond et une intrigue diablement touffue au regard du peu de paragraphes (60 pour être précis). Bravo donc à Freddy Cash. Mon coup de cœur pour ce numéro 1.
A ce propos, petite transgression, avec ce reportage de ARTE concernant Lovecraft : Documentaire Lovecraft ARTE (en trois parties), qui peut amener à discussion d’ailleurs.
Bref, revenons à nos moutons ou plutôt à nos goules et autres zombis puisque l’aventure débute ainsi comme un bon vieux Romero. Pourtant l’histoire prend rapidement une tournure tout à fait inattendue, parfaitement menée tambour battant par l’auteur.
Beaucoup de rythme, de l’humour au vitriol qui colle chirurgicalement avec le style de l’aventure, des personnages secondaires hauts en couleur, une mécanique de narration digne d’un bon scénario Cthulhu saupoudrée de James Bond et une intrigue diablement touffue au regard du peu de paragraphes (60 pour être précis). Bravo donc à Freddy Cash. Mon coup de cœur pour ce numéro 1.