11/02/2011, 21:47
Lu la critique, moi aussi.
Je rejoins globalement ce qui a été dit plus haut. Qu’on n’aime pas quelque chose et qu’on le dise ou l’écrive, pas de problème, bien au contraire, c’est le principe même d’une critique. Sauf que là, le ton est à la limite de l’insulte… Je me demande bien d’où vient cette aigreur. Un sentiment de rivalité ? Quoi qu’il en soit, la communauté des livres dont vous êtes le héros n’est pas bien grande et ce genre d’attitude contre-productive est bien dommage.
Mais je dois confesser que cette critique a eu le don de me faire bien rire. Moquer l’amateurisme de La Feuille d’aventure — qui, par définition, est un fanzine amateur — alors que l’article, pourtant pas bien long, fait lui-même preuve d’un amateurisme flagrant dans sa forme… Permettez-moi d’en lister ici les fautes :
— « si il » au lieu de « s’il » ;
— « que l’on avait » au lieu de « que l’on n’avait » ;
— « pas dérouler » au lieu de « pas déroulé » (celle là, qu’est-ce qu’elle m’a fait mal aux yeux…) ;
— « paléonthologie » au lieu de « paléontologie ».
Et je laisse de côté la typographie mal soignée, comme l’utilisation hasardeuse des majuscules ou l’absence d’un espace insécable qui aurait évité à un point d’interrogation de se retrouver en tête de ligne (ce qui est très moche). Je me demande ce qu’en dirait un secrétaire de rédaction de métier…
La lecture du premier numéro m’avait laissé un sentiment mitigé. Le fond m’avait plutôt plu, mais les nombreuses fautes (pas une page sans que je ne tombe sur une) m’avaient beaucoup gêné. J’attendais de voir ce qu’allait donner le second numéro à ce niveau là avant de décider si j’allais ou non poursuivre l’aventure. C’est fait…
Je rejoins globalement ce qui a été dit plus haut. Qu’on n’aime pas quelque chose et qu’on le dise ou l’écrive, pas de problème, bien au contraire, c’est le principe même d’une critique. Sauf que là, le ton est à la limite de l’insulte… Je me demande bien d’où vient cette aigreur. Un sentiment de rivalité ? Quoi qu’il en soit, la communauté des livres dont vous êtes le héros n’est pas bien grande et ce genre d’attitude contre-productive est bien dommage.
Mais je dois confesser que cette critique a eu le don de me faire bien rire. Moquer l’amateurisme de La Feuille d’aventure — qui, par définition, est un fanzine amateur — alors que l’article, pourtant pas bien long, fait lui-même preuve d’un amateurisme flagrant dans sa forme… Permettez-moi d’en lister ici les fautes :
— « si il » au lieu de « s’il » ;
— « que l’on avait » au lieu de « que l’on n’avait » ;
— « pas dérouler » au lieu de « pas déroulé » (celle là, qu’est-ce qu’elle m’a fait mal aux yeux…) ;
— « paléonthologie » au lieu de « paléontologie ».
Et je laisse de côté la typographie mal soignée, comme l’utilisation hasardeuse des majuscules ou l’absence d’un espace insécable qui aurait évité à un point d’interrogation de se retrouver en tête de ligne (ce qui est très moche). Je me demande ce qu’en dirait un secrétaire de rédaction de métier…
La lecture du premier numéro m’avait laissé un sentiment mitigé. Le fond m’avait plutôt plu, mais les nombreuses fautes (pas une page sans que je ne tombe sur une) m’avaient beaucoup gêné. J’attendais de voir ce qu’allait donner le second numéro à ce niveau là avant de décider si j’allais ou non poursuivre l’aventure. C’est fait…