20/12/2006, 20:16
Chapitre 4 : l'histoire (spoilers !)
- Les deux moteurs principaux de l'histoire sont la perspective du Second Combat et les plans de Voôde. Sans être fantastiquement originaux, ils fonctionnent correctement.
- Bien qu'elle fasse 42 chapitres, la série ne donne pas l'impression de traîner en longueur. Le rythme n'est ni précipité ni trop lent. Les héros ne donnent jamais l'impression d'errer inutilement : exception faite des premiers chapitres, où Tanilya s'efforce de trouver les FdA et de saisir de quoi il retourne, ils ont toujours un objectif clair (obtenir la Clef, se rendre à la Perdition, arrêter Voôde et le Seigneur Noir). Il n'y a que deux chapitres (Les Ruines du Paradis et Celui-Qui-Vient-La-Nuit) où ils font fausse route et n'accomplissent rien d'utile, ce qui n'a rien d'illogique ni d'exagéré.
- La division de l'histoire en chapitres est bien faite. Ils ont chacun une certaine unité, étant généralement centrés sur un lieu ou un péril particulier. Le faible nombre de paragraphes compense leur longueur et la linéarité, ce qui donne des aventures ni trop longues ni trop courtes.
- Il y a une forte linéarité tout au long de la série, qui est la contrepartie de son aspect littéraire. Mais j'ai déjà vu nettement pire (Métamorphoses) et je m'en suis assez bien accommodé tout au long de la série.
- Il y a certaines aventures (je pense à Final Fantasy VI, mais il y a d'autres exemples) où, parvenu à la fin, on se demande s'il n'aurait pas été préférable pour tout le monde que les héros restent chez eux et ne se mêlent de rien. C'est le cas ici puisque les FdA ramènent la Clef des Cieux de Qinamida, permettant ainsi à Voôde et à Mileniya de mettre leur plan à exécution. Par ailleurs, la fin laisse penser que les plans de Voôde étaient de toute façon irréalisables. C'est un peu frustrant au regard des efforts que l'on fournit.
- L'apparition vers la fin d'une batterie de personnages puissants pour nous aider diminue un peu notre sentiment d'accomplissement. Certes, Tanilya est amenée à livrer bataille toute seule, mais ce n'est pas elle qui porte le coup fatal au Seigneur Noir ni à Voôde.
Un petit détail que j'avais oublier d'inclure dans "ressorts dramatique" :
- Même dans les situations où l'urgence est de mise, il se révèle pourtant avantageux de prendre le temps d'explorer les environs. Dans "Celui-qui-Vient...", il vaut mieux aller voir d'où vient la lumière bleue que se porter tout de suite au secours de Niyanée ! Et même dans la toute dernière aventure, on peut obtenir quelques objets utiles en explorant les salles gelées plutôt que de se dépêcher de descendre. Je peux me tromper, mais j'ai l'impression qu'on n'est jamais pénalisé pour avoir perdu du temps.
- Les deux moteurs principaux de l'histoire sont la perspective du Second Combat et les plans de Voôde. Sans être fantastiquement originaux, ils fonctionnent correctement.
- Bien qu'elle fasse 42 chapitres, la série ne donne pas l'impression de traîner en longueur. Le rythme n'est ni précipité ni trop lent. Les héros ne donnent jamais l'impression d'errer inutilement : exception faite des premiers chapitres, où Tanilya s'efforce de trouver les FdA et de saisir de quoi il retourne, ils ont toujours un objectif clair (obtenir la Clef, se rendre à la Perdition, arrêter Voôde et le Seigneur Noir). Il n'y a que deux chapitres (Les Ruines du Paradis et Celui-Qui-Vient-La-Nuit) où ils font fausse route et n'accomplissent rien d'utile, ce qui n'a rien d'illogique ni d'exagéré.
- La division de l'histoire en chapitres est bien faite. Ils ont chacun une certaine unité, étant généralement centrés sur un lieu ou un péril particulier. Le faible nombre de paragraphes compense leur longueur et la linéarité, ce qui donne des aventures ni trop longues ni trop courtes.
- Il y a une forte linéarité tout au long de la série, qui est la contrepartie de son aspect littéraire. Mais j'ai déjà vu nettement pire (Métamorphoses) et je m'en suis assez bien accommodé tout au long de la série.
- Il y a certaines aventures (je pense à Final Fantasy VI, mais il y a d'autres exemples) où, parvenu à la fin, on se demande s'il n'aurait pas été préférable pour tout le monde que les héros restent chez eux et ne se mêlent de rien. C'est le cas ici puisque les FdA ramènent la Clef des Cieux de Qinamida, permettant ainsi à Voôde et à Mileniya de mettre leur plan à exécution. Par ailleurs, la fin laisse penser que les plans de Voôde étaient de toute façon irréalisables. C'est un peu frustrant au regard des efforts que l'on fournit.
- L'apparition vers la fin d'une batterie de personnages puissants pour nous aider diminue un peu notre sentiment d'accomplissement. Certes, Tanilya est amenée à livrer bataille toute seule, mais ce n'est pas elle qui porte le coup fatal au Seigneur Noir ni à Voôde.
Un petit détail que j'avais oublier d'inclure dans "ressorts dramatique" :
- Même dans les situations où l'urgence est de mise, il se révèle pourtant avantageux de prendre le temps d'explorer les environs. Dans "Celui-qui-Vient...", il vaut mieux aller voir d'où vient la lumière bleue que se porter tout de suite au secours de Niyanée ! Et même dans la toute dernière aventure, on peut obtenir quelques objets utiles en explorant les salles gelées plutôt que de se dépêcher de descendre. Je peux me tromper, mais j'ai l'impression qu'on n'est jamais pénalisé pour avoir perdu du temps.