06/08/2010, 09:52
Encore une fois, il faut trouver le juste milieu : chaque auteur a un style particulier, un ton particulier, comme une signature en fait. Mais il ne faut pas que ce style nuise au plaisir de lire son oeuvre ou à la compréhension de cette dernière.
Par exemple, Clark Ashton Smith (écrivain d'héroic-fantasy contemporain de Lovecraft et de Robert. E. HOWARD) écrivait avec des phrases longues, chargées, bourrées d'adjectifs et utilisait des mots parfois archaïques. Celà correspondait à ses histoires, qui avaient toujours pour cadre des mondes décadents et trés anciens, des civilisations trop sophistiquées et agonisantes, des décors fastueux et surchargés.
On peut lui opposer Robert. E.Howard (le créateur de CONAN), qui écrivait des phrases courtes, simples et directes, avec des descriptions allant à l'essentiel. Celà correspondait à ses histoires pleines d'énergie et de fougue, à ses héros vigoureux et décidés, dans un monde brut et débordant de vitalité.
Par exemple, Clark Ashton Smith (écrivain d'héroic-fantasy contemporain de Lovecraft et de Robert. E. HOWARD) écrivait avec des phrases longues, chargées, bourrées d'adjectifs et utilisait des mots parfois archaïques. Celà correspondait à ses histoires, qui avaient toujours pour cadre des mondes décadents et trés anciens, des civilisations trop sophistiquées et agonisantes, des décors fastueux et surchargés.
On peut lui opposer Robert. E.Howard (le créateur de CONAN), qui écrivait des phrases courtes, simples et directes, avec des descriptions allant à l'essentiel. Celà correspondait à ses histoires pleines d'énergie et de fougue, à ses héros vigoureux et décidés, dans un monde brut et débordant de vitalité.
Anywhere out of the world