Pour ma part, j'accepte volontiers la critique sur le style. Mais en aucun cas, il ne faut y voir quelconque suffisance ou arrogance. C’est juste l’envie de proposer un texte un peu travaillé (par respect envers le lecteur potentiel) qui m’anime. Une volonté de s’améliorer et de se convaincre de continuer.
J’ai la même réflexion en musique. Si des gens me font le plaisir de venir me voir jouer en concert, je me dois de proposer le meilleur de mon potentiel. Doit-on y voir une velléité d’arrogance ? Il ne me viendrait pas à l’esprit de venir balbutier des morceaux sans pleinement les posséder.
Maintenant, en ce qui concerne l’AVH sur le roi lézard, j’ai relu avec attention les différents chapitres et effectivement, cela est bien éloigné de ce que je voulais exprimer au début du projet, à savoir un humble hommage à ces bons vieux bouquins de mon enfance où quelques phrases ciselées suffisaient à me faire plonger dans un tas d’aventures palpitantes.
Je m’en suis détourné. La narration se perd dans un style trop lourd, ensevelie sous un flot d’adjectifs. Je revois donc ma copie et la posterais peut-être un de ces jours si le courage me revient. Je doute cependant que ce genre d’exercice me convienne.
Rédiger une AVH est une alchimie bien particulière et le dosage entre description/immersion et dynamisme de l’aventure semble compliqué à trouver.
Par contre, suffisance ça non ! Je ne suis pas écrivain et préfère ma guitare à ma plume. Pas de risque que mes chevilles enflent avec ça !
J’ai la même réflexion en musique. Si des gens me font le plaisir de venir me voir jouer en concert, je me dois de proposer le meilleur de mon potentiel. Doit-on y voir une velléité d’arrogance ? Il ne me viendrait pas à l’esprit de venir balbutier des morceaux sans pleinement les posséder.
Maintenant, en ce qui concerne l’AVH sur le roi lézard, j’ai relu avec attention les différents chapitres et effectivement, cela est bien éloigné de ce que je voulais exprimer au début du projet, à savoir un humble hommage à ces bons vieux bouquins de mon enfance où quelques phrases ciselées suffisaient à me faire plonger dans un tas d’aventures palpitantes.
Je m’en suis détourné. La narration se perd dans un style trop lourd, ensevelie sous un flot d’adjectifs. Je revois donc ma copie et la posterais peut-être un de ces jours si le courage me revient. Je doute cependant que ce genre d’exercice me convienne.
Rédiger une AVH est une alchimie bien particulière et le dosage entre description/immersion et dynamisme de l’aventure semble compliqué à trouver.
Par contre, suffisance ça non ! Je ne suis pas écrivain et préfère ma guitare à ma plume. Pas de risque que mes chevilles enflent avec ça !