Un dialogue est tout l'inverse d'un exercice de style (que peut être la narration). Pas de chichi, pas de réflexion de la part de l'écrivain pour l'enjoliver, le dialogue doit être naturel comme le dit Alendir.
Mais en effet, le contexte est vital. Pour que ça sonne vrai, il faut tenir compte du rang social du personnage, de son éducation, de ses origines géographiques, de son caractère, de son état présent (stressé/détendu), de sa volonté ou non de plaire à son interlocuteur... la liste est infinie.
Tous ces paramètres permettent de choisir le niveau de langage utilisé et après, ça doit rouler.
Evidemment, c'est plus facile à expliquer comme ça qu'à l'appliquer. Mais dans l'absolu, le but est que tout sonne vrai.
Après, ce que je trouve surtout compliqué à titre personnel dans les dialogues, c'est l'utilisation des "...", des exclamations, la ponctuation. Tout ce qui permet de le rythmer pour qu'en le lisant à voix haute, ça sonne bien. D'ailleurs, c'est un très bon révélateur que de relire à voix haute ses dialogues.
Mais en effet, le contexte est vital. Pour que ça sonne vrai, il faut tenir compte du rang social du personnage, de son éducation, de ses origines géographiques, de son caractère, de son état présent (stressé/détendu), de sa volonté ou non de plaire à son interlocuteur... la liste est infinie.
Tous ces paramètres permettent de choisir le niveau de langage utilisé et après, ça doit rouler.
Evidemment, c'est plus facile à expliquer comme ça qu'à l'appliquer. Mais dans l'absolu, le but est que tout sonne vrai.
Après, ce que je trouve surtout compliqué à titre personnel dans les dialogues, c'est l'utilisation des "...", des exclamations, la ponctuation. Tout ce qui permet de le rythmer pour qu'en le lisant à voix haute, ça sonne bien. D'ailleurs, c'est un très bon révélateur que de relire à voix haute ses dialogues.