(07/06/2010, 16:07)Oiseau a écrit : Caïthness, permets-moi de fournir l'explication que tu demandes à Thierry.Et meeerde j'l'avais oublié celle-là.
C'est toi qui se trompe. Si on lance un dé six fois, on n'est pas 100% certain d'avoir un "6" au moins une fois. Le truc, c'est que les tirages se font AVEC REMISE
Bon, ben je
désolée, j'arrête les math et je me remets à la couture
(07/06/2010, 19:35)ashimbabbar a écrit : Gary Gygax avait connu le même problème dans AD&D ( tu sais, on a 1 dé à X faces point de vie par niveau… ça fait 10 dés au 10° niveau… un peu comme l'Épée de Légende en fait… ) et y avait répondu en répondant que les Points de Vie au-delà d'un certain seui représentaient la 'forme', les réflexes, ce genre de truc… donc quelqu'un qui tombe à 2 en DF est couvert blessures mineures et épuisé nerveusement, le moindre coup peut le tuer…
Ça n'est pas une explication parfaite mais ça mérite qu'on l'envisage, en tout cas ça explique comment avec un repas et une bonne nuit de repos on récupère autant…
effectivement, échanger les PE par une échelle d'état permet de rendre le héros virtuellement immortel, en désignant le niveau 1PE par "assomé" ou "hors de combat". Dans ce cas là, les blessures sont toujours de 1PE en combat (sauf qq cas exceptionnel). Mais le faible nombre de PE (et leur signification t'oblige à modifier fortement la gestion des blessures et les combats).
On peut optimiser l'affaire avec les dizaines :
00 PE : mort
01 à 09 PE : assomé
10 à 19 PE : épuisé
20 à 29 PE : blessé
30 à 40 PE : en pleine forme
En prévoyant des malus ou des bonus selo l'état, tu tiens un truc pas trop mal. Le problème, c'est qu'avec un livre (et un PJ seul), les situations de "assomé" sont très délicates à gérer, et son quasi synonyme de mort en milieu hostile...
сыграем !