Bonjour, je voudrais reparler de l’indice de non-linéarité : (nombre de chemins possibles)/(nombre de paragraphes)
Comme je l’ai dit, je vais utiliser l’indice de Jehan mais on pourrait me demander pourquoi je n’en ai pas pris un plus simple ou un autre.
A priori, cet indice définit bien dans quelle mesure une aventure est linéaire, du moins comparativement à une autre. Pour autant quelque chose me dérange, peut-être qu’il est trop arbitraire, l’avantage de celui de Jehan, c’est qu’il se base sur quelque chose de clair : le nombre moyen de chemins sur lesquels se trouve un paragraphe.
Tandis que l’indice (nombre de chemins possibles)/(nombre de paragraphes) est plus nébuleux.
Je ne sais pas ce qui bloque, pourquoi cet indice ne m’inspire pas confiance. Si vous voyez sa faiblesse, n’hésitez pas à me la signaler. Sinon, c’est probablement son abstraction et le fait qu’il soit arbitraire (on pourrait prendre (nombre de chemins possibles)*2/(nombre de paragraphes) ) qui me rend méfiant. Ou le manque de sommeil et la paranoïa -enfin la rigueur- qu'on fini par éveiller en moi les mathématiques.
Comme je l’ai dit, je vais utiliser l’indice de Jehan mais on pourrait me demander pourquoi je n’en ai pas pris un plus simple ou un autre.
A priori, cet indice définit bien dans quelle mesure une aventure est linéaire, du moins comparativement à une autre. Pour autant quelque chose me dérange, peut-être qu’il est trop arbitraire, l’avantage de celui de Jehan, c’est qu’il se base sur quelque chose de clair : le nombre moyen de chemins sur lesquels se trouve un paragraphe.
Tandis que l’indice (nombre de chemins possibles)/(nombre de paragraphes) est plus nébuleux.
Je ne sais pas ce qui bloque, pourquoi cet indice ne m’inspire pas confiance. Si vous voyez sa faiblesse, n’hésitez pas à me la signaler. Sinon, c’est probablement son abstraction et le fait qu’il soit arbitraire (on pourrait prendre (nombre de chemins possibles)*2/(nombre de paragraphes) ) qui me rend méfiant. Ou le manque de sommeil et la paranoïa -enfin la rigueur- qu'on fini par éveiller en moi les mathématiques.