07/05/2009, 20:48
Je suis essentiellement d'accord avec la critique de Fitz, juste pour signaler 2-3 petits trucs.
D'abord c'est normal qu'un samouraï se fasse tuer s'il a un mauvais score en capacités physiques, hein, il n'avait qu'à se faire moine. Non, ce qui est ennuyeux, c'est sur la répartition des dégâts: on peut se faire larder le torse sans inconvénient, mais surtout on est le seul à utiliser une armure dans tout le livre, y compris en pleine bataille… je vous recommande le casque, il faut 3 coups à la tête pour vous tuer si vous le portez quand un seul tue n'importe qui. C'est festif.
Et la capacité Beaux-Arts sert à quelque chose, si, si, on peut trouver comme ça les renseignements qui permettent de débusquer l'arme ennemie. Moi je me suis fait eu parce que je m'étais cru trop malin, mais qu'est-ce que ça prouve ?
Enfin un aspect qui m'a vraiment plu, c'est la présence en marge du surnaturel: l'épée de Murasama et l'ermite qui est peut-être un tengu… ça contribue beaucoup à l'ambiance japonaise.
D'abord c'est normal qu'un samouraï se fasse tuer s'il a un mauvais score en capacités physiques, hein, il n'avait qu'à se faire moine. Non, ce qui est ennuyeux, c'est sur la répartition des dégâts: on peut se faire larder le torse sans inconvénient, mais surtout on est le seul à utiliser une armure dans tout le livre, y compris en pleine bataille… je vous recommande le casque, il faut 3 coups à la tête pour vous tuer si vous le portez quand un seul tue n'importe qui. C'est festif.
Et la capacité Beaux-Arts sert à quelque chose, si, si, on peut trouver comme ça les renseignements qui permettent de débusquer l'arme ennemie. Moi je me suis fait eu parce que je m'étais cru trop malin, mais qu'est-ce que ça prouve ?
Enfin un aspect qui m'a vraiment plu, c'est la présence en marge du surnaturel: l'épée de Murasama et l'ermite qui est peut-être un tengu… ça contribue beaucoup à l'ambiance japonaise.
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna