Un duel Meneldur/HDV, qu’il est temps de départager.

Point de vue écriture, les quatre clairières se situent à un bon niveau. La 29 est très légèrement en-dessous des deux autres, du fait de plusieurs changements de temps un peu déconcertants dans le premier paragraphe. C’est dommage, car elle a beaucoup de potentiel. Les trois autres se valent, avec une mention spéciale pour la 33 et le parler de ses deux protagonistes, ainsi que pour la 48 et son « Comme ça, pensez-vous, cette horreur aura fait le tour de la chaîne alimentaire. » que j’aime beaucoup !

Point de vue atmosphère, là encore les quatre font preuve d’un bon niveau. Je n’accroche pas trop au personnage d’Aryoth, et si j’aime bien l’ambiance générale de la clairière au gargantis, le côté eau-de-rose de la scène entre l’aventurier et l’héroïne me gêne un peu plus. Je préfère l’aspect drôle et décalé des deux aventuriers égarés.

Point de vue jeu, la clairière aux gobelins se démarque, suivi de la clairière au gargantis, l’intérêt des deux autres se situant davantage dans le récit que dans le jeu.

Tout compte fait, la 33 l’emporte d’une courte tête.

A voté.

J’aime beaucoup l’idée du changement de point de vue au premier paragraphe, j’utilise moi-même un procédé similaire dans les souterrains de la quête du bien. C’est pour ça que je trouve beaucoup de potentiel à cette clairière. Le souci est que l’écriture est je trouve un peu confuse et cette nouvelle perspective y perd en portée, c’est dommage. C’est peut-être aussi pour ça que le personnage d’Aryoth ne m’a pas marqué plus que ça, vu qu’il est essentiellement développé dans ce premier paragraphe.