[m-yaz 2021] Anubis ou la naissance d'un dieu
#1
j'ai enfin terminé !

voila la suite d'Anubis ou le maitre de son destin, avec un petit avh de 69 pages qui vous emmènera dans l’Égypte du nouvel empire.
par contre, j’expérimente un nouveau style, et ne maitrisant pas les temps, cela peut faire souffrir certain...

c'est par ici : http://litteraction.fr/livre-jeu/anubis-ou-la-naissance-d-un-dieu
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#2
Tu concours pour le mini yaz 2021 du coup ou pas, elle fait 50 sections ton aventure ?
lorsque chantent les cigales, sois sûr d'avoir des glaçons au congel... Proverbe provençal amateur de pastaga
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#3
(30/05/2021, 17:20)sunkmanitu a écrit : Tu concours pour le mini yaz 2021 du coup ou pas, elle fait 50 sections ton aventure ?

oui, j'y participe,
l'aventure comporte 50 sections.
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#4
Je n'ai lu pour l'instant qu'en diagonale (j'ai encore du travail), mais attention à la confusion : "comploteurs" =/= "complotistes" !
Souris ! Tu ne peux pas tous les tuer...
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#5
(31/05/2021, 13:36)Loi-Kymar a écrit : Je n'ai lu pour l'instant qu'en diagonale (j'ai encore du travail), mais attention à la confusion : "comploteurs" =/= "complotistes" !

corrigé dans mon fichier, merci.
complotiste est tellement galvoder aujourd'huis...
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#6
C'est aussi indiqué ta sortie d'AVH sur Taverne des Aventuriers ;.
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#7
J'avais un assez bon souvenir de l'aventure précédente. Cette plongée dans l'histoire de France par une équipe d'individus très modernes et aux dialogues colorés, se terminant par une rencontre avec des dieux de différents panthéons avait un goût étrange, mais pas inintéressant.
Cette fois, j'ai beaucoup moins apprécié la recette, à la saveur quelque peu Stargate.

Peut-être que dans l'introduction, la voix supplémentaire hurlant avec les loups de l'Occident, pour le bénéfice de la nouvelle guerre froide contre le dangereux ennemi chinois, m'avait mis de mauvaise composition. On a déjà les médias pour ça...

Ceci dit, j'ai dès le début été agacé par les très nombreuses fautes. Oublis de mots, orthographe approximative, l'ensemble m'a donné une impression d'écriture rapide et non relue.
Ensuite, on repart dans cette histoire étourdissante de dieux qui se tirent la bourre, dont les liens familiaux qui les unissent ne font qu'ajouter à la complexité du tableau. Nous interprétons une femme flic, jouet de la volonté de Kronos, qui se retrouve dans le corps de Samia dans l'Egypte antique pour une mission top-krono : une heure pour aller dans un temple et faire ingérer une pastille au grand prêtre.
Un choix de compétences sympa, qui permet de personnaliser l'héroïne. Même si au fond, je trouve bizarre qu'elle puisse être seulement diplomate alors qu'on nous la décrit comme bagarreuse et que les dialogues imposés en font une femme pugnace, au franc-parler.
J'ai choisi perspicace et filature car je la voulais comme une espionne. Au moins, j'ai pu me servir une fois efficacement de ces compétences.

J'ai bien aimé les changements de perspective d'une section à l'autre. Au lieu de suivre simplement la narration du point de vue de l'héroïne, sa progression est régulièrement vue par les yeux d'un tiers. Bien que déstabilisant, le procédé est original et permet d'enrichir rapidement l'univers.
Mais c'est un peu là que le bât blesse aussi, cette impression générale que l'héroïne (et le thème du concours!) n'est qu'un prétexte pour dépeindre une toile de fond bien plus vaste. D'ailleurs, la conclusion ressemble à l'extrait d'un roman tant elle est déconnectée de l'aventure en elle-même.

J'ai atteint le 50 dès la première lecture. Peut-être mon choix de compétences était-il pertinent. Peut-être ai-je pris les bonnes décisions. Mais à voir la condition de réussite avec le nombre de hiéroglyphes, j'ai l'impression que l'aventure se termine facilement.

Désolé pour le retour plutôt négatif. J'ai vraiment préféré le premier volet.
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#8
merci pour le retour !

(07/06/2021, 14:53)Fitz a écrit : Ceci dit, j'ai dès le début été agacé par les très nombreuses fautes. Oublis de mots, orthographe approximative, l'ensemble m'a donné une impression d'écriture rapide et non relue.

malheureusement non, comme je suis dyslexique, je mets beaucoup de temps à écrire et je pensais même ne pas pouvoir finir.
ce qui est embêtant c'est que le texte est passé sous antidote et que j'ai corrigé toutes les fautes, toutes les mauvaises tournures. évidemment, il ne corrige pas les emplois de temps, c'est peut être là que tu as rencontré les nombreuses fautes.
bref, j'ai utilisé tous les outils à ma disposition... sauf le relecteur.

(07/06/2021, 14:53)Fitz a écrit : Un choix de compétences sympa, qui permet de personnaliser l'héroïne. Même si au fond, je trouve bizarre qu'elle puisse être seulement diplomate alors qu'on nous la décrit comme bagarreuse et que les dialogues imposés en font une femme pugnace, au franc-parler.

je ne comprend pas, tu peux choisir Combat, diplomatie ou perspicace, pas seulement diplomatie. après, si c'est le terme diplomatie qui dérange, je pourrais mettre persuasion à la place et baratin ensuite.

(07/06/2021, 14:53)Fitz a écrit : J'ai choisi perspicace et filature car je la voulais comme une espionne. Au moins, j'ai pu me servir une fois efficacement de ces compétences.

les compétences s'utilisent rarement, mais elles permettent de gagner ou de perdre dans un sens. à titre indicatif, les compétences generales s'utilisent 2 fois (2 paragraphes en font appel), les secondaires 1 seule fois. il y a cependant des exceptions.

(07/06/2021, 14:53)Fitz a écrit : Mais c'est un peu là que le bât blesse aussi, cette impression générale que l'héroïne (et le thème du concours!) n'est qu'un prétexte pour dépeindre une toile de fond bien plus vaste.

tu as tout a fait raison, la saga se déroule en 5 chapitres dans un univers bien fournit et qui ne cesse de grandir lorsque je réponds à certaine question que je me pose.
ensuite, je me nourris du concours. je sais ce qui va se passer mais pas comment ça va se passer, le thème du concours y réponds.
après je ne suis pas le meilleur des écrivains et je fais des erreurs, mais je fais de mon mieux et ce qui me plait (donne envie d’écrire)

(07/06/2021, 14:53)Fitz a écrit : D'ailleurs, la conclusion ressemble à l'extrait d'un roman tant elle est déconnectée de l'aventure en elle-même.

je pense que tu as cette impression parce que tu es arrivé au 50, et du coup, tu ne sais pas qui est l'agent Fynn. l’épilogue fait reference a beaucoup de paragraphes et même à l’épilogue du 1e chapitre. Si le lecteur ne les a pas lu, j'imagine qu'il pense la même chose que toi.

(07/06/2021, 14:53)Fitz a écrit : J'ai atteint le 50 dès la première lecture. Peut-être mon choix de compétences était-il pertinent. Peut-être ai-je pris les bonnes décisions. Mais à voir la condition de réussite avec le nombre de hiéroglyphes, j'ai l'impression que l'aventure se termine facilement.

le 50 est une fausse victoire, comme dans le 1e chapitre, ou plutôt une réussite critique qui ne débouchera pas dans le 3e chapitre parce que je suis un tricheur. cependant, je pense que la compétence filature conjugué avec diplomatie assure trop cette victoire. par ailleurs, si tu es passé à cote de toutes les distractions, alors tu as fais les bons choix pour assurer le 50, mais j'ai l'impression que tu n'as pas été au secours de la pauvre esclave.

(07/06/2021, 14:53)Fitz a écrit : Désolé pour le retour plutôt négatif. J'ai vraiment préféré le premier volet.

aucun soucis !
mais c'est vrai que l'approche est très différentes du 1e chapitre. comme je l'ai écrit, c'est un test. en tout cas, tu as apprécie la narration il me semble, les changements de perspectives et c'est ce qui m'a vraiment plus dans l’écriture.
en fait, je suis en train de lire les 3 mousquetaires, et alors que je déteste les films et l'histoire, le livre me laisse sans voix tellement c'est génial. j’essaie modestement de reprendre son style, sa manière de narrer l'histoire. grâce à Dumas, j'ai découvert ce qu'est un narrateur.


pour conclure, pourrais tu me donner les numéros des paragraphes de ton cheminement. cela me permettrait de savoir lesquels sont lus, et celles qui sont délaissés.

merci !
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#9
C'est sûr que si tu es dyslexique, c'est méritoire d'écrire autant.
Pour les fautes, attends de voir les retours d'autres lecteurs. Il peut m'arriver d'être perturbé par des tournures qui ne gêneront personne d'autres que moi. Désolé de ne pas les relever au fur et à mesure.
Dans l'intro, je me souviens juste de "par force de déduction" (par déduction me semble plus naturel).

Pour les compétences, je voulais dire qu'on peut tout à fait définir un profil comme j'ai fait, pas du tout guerrier, alors que sa personnalité ne colle pas avec cette idée-là. Pourquoi pas mettre une petite phrase à ce niveau des règles pour expliquer que, quel que soit notre choix, elle est déjà une combattante honorable et que prendre la compétence Combat en fait une vraie tueuse? Après, je suis peut-être dans le pinaillage.

Je trouve ça bien que tu aies décompté précisément le nombre de fois où on utilise chaque compétence. Si tous les auteurs des LDVELH traditionnels avaient procédé ainsi, on aurait eu des gameplay encore meilleurs (Loup Solitaire...).

C'est vrai, je n'ai pas secouru la fille. Avec du recul, j'étais à fond dans mon personnage, dans la réussite de la mission. J'aime bien ces passages qui se déroulent sur un temps condensé avec des décisions rapides et cruciales à prendre. Dommage pour moi si je suis passé à côté d'une section qui donne plus de clarté au dénouement.

Mon parcours : 1 / 24 / 6 / 20 / 9 / 31 / 49 / 4 / 27 / 38 / 3 / 48 / 18 / 50
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#10
Dès le prologue aux allures de roman d'Anubis ou la naissance d'un dieu (et ce sera confirmé dans un épilogue semblable), on sait qu'on entre dans un épisode d'un univers préétabli et large où l'on aura peu de chances de tout saisir (même le résumé des "épisodes précédents", en particulier l'AVH de 2020 Anubis ou le Maître de son destin, est assez expéditif). Ce n'est pas nécessairement un problème en soi. Là où le bât (me) blesse, c'est que le récit interactif joue de cette notion d'enjeux surplombants d'une manière qui, pour ma part, ne m'implique pas vraiment dans l'aventure proposée.

Notre personnage est une femme mortelle jouet des manigances d'une divinité (Kronos) en opposition avec une autre (Anubis), et tenue d'endosser l'identité d'une tierce personne, sans autre contestation à opposer que des punchlines au langage fleuri marquant caricaturalement le décalage entre le profane et le divin. Ce sont les dieux qui mènent la danse, et nous ne pouvons qu'espérer sauver notre peau tout en restant voués à jouer leur jeu. Il existe à coup sûr des moyens de rendre un postulat si fataliste passionnant à jouer (voir ce qui se fait en jeu de rôle, pro ou amateur, autour du Mythe de Cthulhu), mais je crains que l'approche de cette AVH ne fonctionne pas tout à fait avec moi. D'autant plus que, de temps à autre, le texte change de point de vue pour prendre, soit celui d'un dieu impliqué (soulignant la présence d'un univers dont les enjeux nous dépassent), soit, plus gênant, celui d'un auteur d'AVH avec des tournures exagérément "méta" qu'on ne trouve dans aucun autre texte interactif telles que "Pour conclure ce paragraphe, souhaitez-vous que... ?". En ce qui me concerne, à force de ces détails me rappelant régulièrement qu'il s'agit, soit d'une vaste entreprise sur laquelle je n'aurai jamais qu'une prise superficielle, soit d'une pure fiction dont je suis le joueur, je finis par m'en détacher.

C'est dommage parce que, passé cette barrière induite manifestement par la toile de fond tissée par l'auteur, on trouve une partie ludo-littéraire pas dénuée d'intérêt ni de détails sympathiques. La mission consiste à approcher une cible sans qu'un autre intervenant (Anubis) nous voie venir et tente de contrecarrer le projet. On commence en se choisissant des compétences, dont seules certaines vous assureront le succès. Les PFA se terminent sur une touche originale suggérant un "rembobinage" de l'aventure (Kronos oblige). Et nos actions significatives sont notées sous forme, non des traditionnels codes en lettres, mais de hiéroglyphes. Dans mes quelques tentatives, cependant, une chose ne s'est jamais éclaircie...
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Souris ! Tu ne peux pas tous les tuer...
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#11
Je vais rebondir sur la critique de Loi-Kymar, je m'excuse d'avance si je vais être assez laconique.
Globalement j'ai préféré le premier volet d'Anubis, même si je n'avais pas tout compris je trouvais que les dialogues et l'interaction entre les personnages étaient très bons, vivants.
Ici, je dois avouer qu'à force de complexité, au bout d'un moment j'ai décroché. Je ne savais plus qui était qui, qui faisait quoi. Le dialogue initial entre l'héroïne que nous incarnons et le dieu tombe un peu à plat, déjà. Le décalage entre les deux modes d'expression est compliqué à gérer et brise un peu l'immersion.
Les changements de point de vue, j'ai trouvé ça audacieux et intéressant. Bon, c'est vrai que ça casse le rythme, mais j'aime beaucoup le principe.
Finalement on comprend bien que tout ça fait partie d'un univers cohérent qu'on ne connaît pas suffisamment, mais au final ça reste frustrant je trouve.
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#12
Je souscris grosso modo aux avis précédents sur les qualités et les "défauts" de cette AVH. Je me suis un peu perdu dans ces obscures machinations divines et ces nombreux PNJ qu'on croise. Avec ces dieux qui n’en sont pas et qui se réincarnent à volonté dans le corps d’autres personnes comme on change de chemise, cela devient parfois difficile à suivre. Par contre il y a pleins de bonnes idées : les compétences à choisir, l’action décrite avec différents points de vue, les hiéroglyphes qui remplacent les codes, les chiens à queue de serpent... mais ce que j'ai le plus apprécié, c'est le cadre franchement original dans lequel se passe l'AVH : l’Égypte ancienne. C'est assez rare dans l'univers des LDVELH/AVH. A ma connaissance, il n'y a que l'Histoire à jouer "L'Or du pharaon" (qui n'est pas le meilleur de cette collection)... C'est un monde assez méconnu (en dehors ce que l'on a tous appris à l'école sur les pyramides, etc.) , et cela serait intéressant de lire une longue AVH se déroulant dans ce cadre. Il y a une piste à creuser pour qui veut se lancer :-)
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#13
Apparté:

Il y a la pyramide de Gath en AVH: http://rdv1.dnsalias.net/forum/thread-1276.html?highlight=gath

L'or des pharaons n'est pas si mal, bien qu'un peu trop "scolaire". Mais c'est souvent le cas dans cette série, la partie éducative apparaît trop en tant que telle.
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#14
Aussi en aparté : L'œil du Sphinx, 2eme Prêtre Jean, est excellent dans ce cadre.
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#15
(13/06/2021, 00:42)Loi-Kymar a écrit : Là où le bât (me) blesse, c'est que le récit interactif joue de cette notion d'enjeux surplombants d'une manière qui, pour ma part, ne m'implique pas vraiment dans l'aventure proposée.

hop, je répond enfin ! merci pour le retour !

je rebondis dessus, sur le "pas impliqué". ma question est : est ce que tu n'avais pas envie de découvrir l'histoire ? envi d'abandonner parce qu'elle est inintéressante ? ou juste, pas impliqué dans l'action de l’héroïne ? bref, pas impliqué dans la lecture ou le personnage ?
c'est pour savoir si l'histoire plait ? si tu as envie d'en savoir plus quand tu découvre les paragraphes.


(13/06/2021, 00:42)Loi-Kymar a écrit : celui d'un auteur d'AVH avec des tournures exagérément "méta" qu'on ne trouve dans aucun autre texte interactif telles que "Pour conclure ce paragraphe, souhaitez-vous que... ?". En ce qui me concerne, à force de ces détails me rappelant régulièrement qu'il s'agit, soit d'une vaste entreprise sur laquelle je n'aurai jamais qu'une prise superficielle, soit d'une pure fiction dont je suis le joueur, je finis par m'en détacher.

c'est justement un effet de style que je teste, et du coup, il semblerait que personne n'accroche.
par contre, celui des points de vue qui change semble mieux fonctionner pour certain. cette méthode me permettait de montrer l'univers, le lieu de l'aventure. des situations et des enjeux que le lecteur peut connaitre, mais pas le personnage.
je voulais simplement utiliser une méthode que l'on voit dans beaucoup de roman, ou film : il y a un héros que l'on suit, et parfois, un chapitre est dédié à un personnage secondaire.
par exemple, quand l'heroine va dans un batiment, parce qu'elle a vu un truc. au lieu de dire : vous y allez, c'est grand, il y a ca, et ca, et un chat. j'ai prefere raconter l'histoire d'un chat qui chasse une sourie et rencontre une humaine. je trouve ca, plus interessant.
je regarde en ce moment black summer, et ça joue beaucoup dessus.

le principal défaut est la perte de l'immersion à l’héroïne, c'est un choix que j'ai fais et les retours sont important pour savoir si se sont des bons choix ou non.

(13/06/2021, 00:42)Loi-Kymar a écrit : La mission consiste à approcher une cible sans qu'un autre intervenant (Anubis) nous voie venir et tente de contrecarrer le projet. On commence en se choisissant des compétences, dont seules certaines vous assureront le succès.

c'est là où je me rend compte que j'ai complétement raté.
à aucun moment anubis tente de contre carrer les plans de l’héroïne, puisqu'il ne sait rien. a ce moment là, il est occupé dans la villa avec kronos (c'est raconté dans le paragraphe 1 et l’épilogue).
celui qui tente d’empêcher l’héroïne de rencontrer le grand prêtre, c'est le titan Seth (c'est raconté dans l’épilogue).

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(13/06/2021, 00:42)Loi-Kymar a écrit : Dans mes quelques tentatives, cependant, une chose ne s'est jamais éclaircie...
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le terme PFA est un peu compliqué, mais quand l’héroïne meurt, il y a l'effet de rembobinage. comme le lecteur a le sentiment d'avoir perdu, il va forcement recommencer l'aventure, ou rembobiner de quelques paragraphe.
il est seulement suggéré ici, dans le premier chapitre, il était annoncé au lecteur.
quand elle ne meurt pas, l'aventure est simplement terminé : elle fuit le grand temple avec kronos. du coup, je devrais peut être inviter le lecteur a se rendre à l’épilogue dans ces cas là.

pour terminer, pourrais tu me donner ton cheminement, si tu t'en souviens encore ? pour savoir les paragraphes lus, des non lus. et les compétences choisis ?
merci !
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