13/03/2023, 22:19
Lu.
C'était une expérience en tout cas.
Bon, déjà, il faut accepter le postulat de base que c'est un vrai DF, avec tout que cela implique en terme de thèmes, de règles, de longueur de sections. C'est pas forcément une mauvaise chose, mais c'est là qu'on se rend bien compte de la différence entre le vrai rétro et le « rétraux », c'est-à-dire les anciennes recettes réarrangées à la sauce moderne.
Et dans cette optique, c'est vraiment pas un mauvais DF. Il tente des trucs assez cool, il a de bonnes idées, c'est une lecture sympathique.
Malheureusement, il n'est pas non plus extraordinaire.
Déjà, comme l'a déjà détaillé Salla, sa structure est vraiment mal fichue, au point de parfois devoir arrêter sa lecture pour vérifier de pas s'être planté. À cela s'ajoute une couche de vernis nostalgique, qui parfois fonctionne réellement en donnant un peu de brillant et de relief à un lieu, trop souvent colle sous la semelle et empêche l'histoire de trouver son propre rythme.
Enfin, il manque l'étincelle, l'idée, le petit truc en plus qui lui permettrait d'être plus que son contexte, ce baroud d'honneur d'un auteur à la créativité extraordinaire et la carrière bien trop courte. J'espérais une ultime roublardise de celui qui jadis n'hésitait pas à tricher avec le format DF pour aller au-delà : Le contemporain horrifique avec le Manoir, la saga méticuleuse avec Sorcellerie, tellement de trucs avec la Créature que je ne vais pas m'avancer à les citer ici.
Au lieu de ça, on a un DF que Green aurait fondamentalement pu écrire tout seul. Pire, on a un DF moins bon que certains que Green a écrit tout seul. Donc, je peux pas m'empêcher d'être déçu. C'est pas mauvais. Mais ce n'est qu'un écho de ce qui fut, un reflet d'une gloire passée, et non le magnifique chant du cygne que j'aurais tant aimé pouvoir associer au nom de Jackson.
C'était une expérience en tout cas.
Bon, déjà, il faut accepter le postulat de base que c'est un vrai DF, avec tout que cela implique en terme de thèmes, de règles, de longueur de sections. C'est pas forcément une mauvaise chose, mais c'est là qu'on se rend bien compte de la différence entre le vrai rétro et le « rétraux », c'est-à-dire les anciennes recettes réarrangées à la sauce moderne.
Et dans cette optique, c'est vraiment pas un mauvais DF. Il tente des trucs assez cool, il a de bonnes idées, c'est une lecture sympathique.
Malheureusement, il n'est pas non plus extraordinaire.
Déjà, comme l'a déjà détaillé Salla, sa structure est vraiment mal fichue, au point de parfois devoir arrêter sa lecture pour vérifier de pas s'être planté. À cela s'ajoute une couche de vernis nostalgique, qui parfois fonctionne réellement en donnant un peu de brillant et de relief à un lieu, trop souvent colle sous la semelle et empêche l'histoire de trouver son propre rythme.
Enfin, il manque l'étincelle, l'idée, le petit truc en plus qui lui permettrait d'être plus que son contexte, ce baroud d'honneur d'un auteur à la créativité extraordinaire et la carrière bien trop courte. J'espérais une ultime roublardise de celui qui jadis n'hésitait pas à tricher avec le format DF pour aller au-delà : Le contemporain horrifique avec le Manoir, la saga méticuleuse avec Sorcellerie, tellement de trucs avec la Créature que je ne vais pas m'avancer à les citer ici.
Au lieu de ça, on a un DF que Green aurait fondamentalement pu écrire tout seul. Pire, on a un DF moins bon que certains que Green a écrit tout seul. Donc, je peux pas m'empêcher d'être déçu. C'est pas mauvais. Mais ce n'est qu'un écho de ce qui fut, un reflet d'une gloire passée, et non le magnifique chant du cygne que j'aurais tant aimé pouvoir associer au nom de Jackson.