L’aventure commence agréablement. Déjà, la couverture et les illustrations sont jolies, et la blague sur le score de chance est rigolote. Celle sur le background/contexte est un peu lourde, en revanche.
Ça se gâte un peu par la suite. L’absence de liens cliquables est préjudiciable, mais ce sont surtout les nombreuses fautes qui m’ont gêné : fautes de temps, d’orthographe, de ponctuation, absence de majuscules çà et là (toucan volant)… Quelques répétitions et tournures bizarres…
J’ai l’impression qu’il n’y a simplement eu aucune relecture. La section 33 est un bon condensé des erreurs et bizarreries qui parsèment le récit. La section 6 également : « Vous le voyez en train » ; en train de quoi ?… Ou encore : « Son nez (…) mordille la tôle. »
On a parfois l’impression que des mots ont été ajoutés ou retirés au hasard… C’est dommage, car ça casse l’immersion (sans mauvais jeu de mots), or l’AVH a un bon potentiel. Le récit se prête très bien à une histoire courte, il manque peu de choses pour s’y plonger (sans mauvais jeu de mots) et vivre une aventure marquante.
Le jeu ne m’a paru ni trop punitif, ni trop facile. J’ai trouvé l’endurance plutôt bien utilisée. L’habileté est peut-être sous-exploitée, en revanche : ainsi, j’ai gagné à ma première tentative sans qu’elle ne m’ait servi une seule fois.
J’avais l’impression que le rythme cardiaque, si détaillé dans l’introduction (une très bonne idée, je trouve), ne servait finalement pas à grand-chose, mais à la relecture je me suis rendu compte qu’il permettait au contraire d’anticiper certains choix — notamment ceux à ne pas faire. Donc au final, je trouve l’aspect ludique plutôt bien réalisé. Un lecteur qui connaît bien les requins me semble partir avec un certain avantage, mais certains pièges se devinent avec un peu de sagacité : le mur de lumière qui se révèle être un banc de méduses, par exemple.
En conclusion, l’aventure a un bon potentiel, qu’une ou deux grosses relectures permettraient de révéler.
Ça se gâte un peu par la suite. L’absence de liens cliquables est préjudiciable, mais ce sont surtout les nombreuses fautes qui m’ont gêné : fautes de temps, d’orthographe, de ponctuation, absence de majuscules çà et là (toucan volant)… Quelques répétitions et tournures bizarres…
J’ai l’impression qu’il n’y a simplement eu aucune relecture. La section 33 est un bon condensé des erreurs et bizarreries qui parsèment le récit. La section 6 également : « Vous le voyez en train » ; en train de quoi ?… Ou encore : « Son nez (…) mordille la tôle. »
On a parfois l’impression que des mots ont été ajoutés ou retirés au hasard… C’est dommage, car ça casse l’immersion (sans mauvais jeu de mots), or l’AVH a un bon potentiel. Le récit se prête très bien à une histoire courte, il manque peu de choses pour s’y plonger (sans mauvais jeu de mots) et vivre une aventure marquante.
Le jeu ne m’a paru ni trop punitif, ni trop facile. J’ai trouvé l’endurance plutôt bien utilisée. L’habileté est peut-être sous-exploitée, en revanche : ainsi, j’ai gagné à ma première tentative sans qu’elle ne m’ait servi une seule fois.
J’avais l’impression que le rythme cardiaque, si détaillé dans l’introduction (une très bonne idée, je trouve), ne servait finalement pas à grand-chose, mais à la relecture je me suis rendu compte qu’il permettait au contraire d’anticiper certains choix — notamment ceux à ne pas faire. Donc au final, je trouve l’aspect ludique plutôt bien réalisé. Un lecteur qui connaît bien les requins me semble partir avec un certain avantage, mais certains pièges se devinent avec un peu de sagacité : le mur de lumière qui se révèle être un banc de méduses, par exemple.
En conclusion, l’aventure a un bon potentiel, qu’une ou deux grosses relectures permettraient de révéler.