Choses qu'on ne refera plus :
Sinon, un défaut du jeu qui se confirme, à savoir que plus on perd, plus on perd : Se retrouver avec un seul survivant limite fortement nos possibilités d'action et nous force à le déplacer (l'action la plus dangereuse du jeu) plus souvent, et donc à risquer de le perdre lui aussi, et notre main en prime.
À l'inverse, disposer d'une petite armée à son service permet d'être partout à la fois sans trop bouger, et diminue les chances de de se retrouver incapable de chercher ou de combattre faute de dés sympathiques (plus on a de survivants, plus on lance de dés).
- Combattre des zombies au corps-à-corps avec Sparky plutôt que de construire des barricades (on a dépensé une quantité hallucinante de médicaments, qui nous aurait bien été utiles plus tard, pour soigner les engelures de ce chien).
- Encourager Salla à accueillir une réfugiée louche alors que son comptable avait bien vu l'embrouille.
- Laisser Jehan prendre des décisions stratégiques sous le coup de l'émotion (perte d'un bon perso, d'un moral et d'un carburant pour avoir voulu économiser à tout prix un carburant)
- Prendre le camionneur (maintenant que l'on sait qu'il y a une carte Crossroads qui, en substance, le tue automatiquement sans recours possible).
Sinon, un défaut du jeu qui se confirme, à savoir que plus on perd, plus on perd : Se retrouver avec un seul survivant limite fortement nos possibilités d'action et nous force à le déplacer (l'action la plus dangereuse du jeu) plus souvent, et donc à risquer de le perdre lui aussi, et notre main en prime.
À l'inverse, disposer d'une petite armée à son service permet d'être partout à la fois sans trop bouger, et diminue les chances de de se retrouver incapable de chercher ou de combattre faute de dés sympathiques (plus on a de survivants, plus on lance de dés).