En gros, si je comprends bien, tu voudrais raconter l'histoire d'un type qui s'est complètement perdu dans l'espace et qui est bringuebalé ou erre de planètes en planètes à la recherche d'une issue ?
Très bonne idée, mais quelles planètes, quelles mondes ? Encore, une fois, ce que tu proposes, c'est un thème, une intrigue, pas un monde.
C'est très bon, mais encore une fois ça va poser le problème du Daleth : si chaque auteur doit à chaque fois décrire une nouvelle planète : tu imagines que c'est un boulot considérable et qu'en plus le lecteur va avoir l'impression d'avoir affaire à une succession de petites avh plutôt qu'à une seule avh ? Parce que si chacun a une planète : alors là c'est effectivement 50 § minimum, et en nombre de mots je te raconte pas.
Une alternative que je suggérerai : le héros (appelez le Ulysse et faites des ref à la mythologie grecque si vous voulez) s'écrase sur une planète inconnue ou hostile, habituée ou pas, et toute l'histoire se passerait sur une seule planète (ou deux/trois max à la limite), et l'objectif du héros est de partir de là. Très bonne base. Mais encore une fois, il faut inventer un monde intéressant.
Très bonne idée, mais quelles planètes, quelles mondes ? Encore, une fois, ce que tu proposes, c'est un thème, une intrigue, pas un monde.
C'est très bon, mais encore une fois ça va poser le problème du Daleth : si chaque auteur doit à chaque fois décrire une nouvelle planète : tu imagines que c'est un boulot considérable et qu'en plus le lecteur va avoir l'impression d'avoir affaire à une succession de petites avh plutôt qu'à une seule avh ? Parce que si chacun a une planète : alors là c'est effectivement 50 § minimum, et en nombre de mots je te raconte pas.
Une alternative que je suggérerai : le héros (appelez le Ulysse et faites des ref à la mythologie grecque si vous voulez) s'écrase sur une planète inconnue ou hostile, habituée ou pas, et toute l'histoire se passerait sur une seule planète (ou deux/trois max à la limite), et l'objectif du héros est de partir de là. Très bonne base. Mais encore une fois, il faut inventer un monde intéressant.