je sens que ça va partir en sucette 
Scylla reste un moment paralysée par la déclaration du chasseur, le fixant tout en tremblant des lèvres.Elle lui dit sur un ton colérique en montrant Thamyris du soigt :
- Parce que lui ne m'a pas insulté comme toutes les créatures de la nature ? (elle est en train de régurgiter un truc qu'elle traîne depuis ce post)Et puis j'en sais rien moi de ce que vous lui avez dit !
Elle se rapproche d'Actéon, le visage tordu par la tristesse et les yeux pleins de larmes :
- J'en ai marre de toute cette haine et ces disputes stériles alors que ce pauvre gosse est peut-être en train de mourir. Et si vous voulez vraiment le sauver comme vous le dites, alors faites-le !
Tout en déblatérant ses inepties, elle tambourine l'adbomen du chasseur avec ses poings frêles avant de s'écrouler le long de ses jambes. Recroquevillée parterre, elle se laisse vagir en hoquetant de désespoir et en murmurant :
- Je vous déteste tous, vous les humains. Je vous déteste...
Puis dans un murmure à peine audible entre deux pleurs...
- J'veux rentrer chez moi...
(10/02/2014, 12:22)Jehan a écrit :« En nous accusant de lâcheté et de cruauté, vous nous insultez tous, et ça, je ne peux pas l’accepter, pas après que Thermodossa, Agrias et moi-même avons risqué nos vies tant de fois, pas après que Thamyris a sauvé tant de vies — y compris celle de ce garçon auquel vous tenez tant. Vous voulez un brancard ? Présentez vos excuses, et je le fabriquerai. »
Scylla reste un moment paralysée par la déclaration du chasseur, le fixant tout en tremblant des lèvres.Elle lui dit sur un ton colérique en montrant Thamyris du soigt :
- Parce que lui ne m'a pas insulté comme toutes les créatures de la nature ? (elle est en train de régurgiter un truc qu'elle traîne depuis ce post)Et puis j'en sais rien moi de ce que vous lui avez dit !
Elle se rapproche d'Actéon, le visage tordu par la tristesse et les yeux pleins de larmes :
- J'en ai marre de toute cette haine et ces disputes stériles alors que ce pauvre gosse est peut-être en train de mourir. Et si vous voulez vraiment le sauver comme vous le dites, alors faites-le !
Tout en déblatérant ses inepties, elle tambourine l'adbomen du chasseur avec ses poings frêles avant de s'écrouler le long de ses jambes. Recroquevillée parterre, elle se laisse vagir en hoquetant de désespoir et en murmurant :
- Je vous déteste tous, vous les humains. Je vous déteste...
Puis dans un murmure à peine audible entre deux pleurs...
- J'veux rentrer chez moi...
?
сыграем !