24/02/2011, 21:31
L'idée des femmes pirates (des sortes d'amazones marines?) me parait un peu incongrue tout de même. Surtout le fait que ce soit un "secret".
Mais l'idée sous-jacente de la "fatalité" me plaît bien par contre, même si je la verrai plus appliquée au héros, qui pourrait ainsi se rendre compte qu'il est l'un des leurs, qu'il a la même "anormalité" (si on part sur un scénar où les pirates ne sont pas de "simples humains").
Du coup au lieu de l'empêcher il participe directement au sacrifice final! Maus dans ce cas que ce soit la mère me gène, je mettrai plutôt un "frère", qui n'aurait pas hérité de la "particularité" comme le héros).
Celà pourrait rejoindre l'idée d'un certain mutisme au départ des concitoyens du héros: les adultes seraient au courant de cette malédiction qui touche certains d'entre eux, en les rendant "monstrueux" comme les pirates, (enfin les chefs pirates, qui se serviraient d'un équipage de constitué de pirates "classiques" comme "couverture" pour dissimuler leur véritable nature et leurs véritables intention, pas le pillage mais des sacrifices). Ce secret serait le tabou absolu sur l'île de notre héros).
Après il faut accepter de ne pas avoir une happy-end.
Sinon encore mieux on peut touours retourner le scénario en mettant que c'est le frère enlevé qui a la "particularité" (c'est pour ça qu'il est enlevé) et nous, inconscient du danger, voulons sauver notre frère alors que ce dernier n'est pas du tout en danger, et au contraire une fois devenu "des leurs", voudra nous sacrifier nous!
ON peut imaginer deux fins:
-on tue le frère renégat et on détruit le culte
-on réussit à le "déconvertir" et on trouve ainsi le moyen de "déconvertir" tout le monde.
Mais l'idée sous-jacente de la "fatalité" me plaît bien par contre, même si je la verrai plus appliquée au héros, qui pourrait ainsi se rendre compte qu'il est l'un des leurs, qu'il a la même "anormalité" (si on part sur un scénar où les pirates ne sont pas de "simples humains").
Du coup au lieu de l'empêcher il participe directement au sacrifice final! Maus dans ce cas que ce soit la mère me gène, je mettrai plutôt un "frère", qui n'aurait pas hérité de la "particularité" comme le héros).
Celà pourrait rejoindre l'idée d'un certain mutisme au départ des concitoyens du héros: les adultes seraient au courant de cette malédiction qui touche certains d'entre eux, en les rendant "monstrueux" comme les pirates, (enfin les chefs pirates, qui se serviraient d'un équipage de constitué de pirates "classiques" comme "couverture" pour dissimuler leur véritable nature et leurs véritables intention, pas le pillage mais des sacrifices). Ce secret serait le tabou absolu sur l'île de notre héros).
Après il faut accepter de ne pas avoir une happy-end.
Sinon encore mieux on peut touours retourner le scénario en mettant que c'est le frère enlevé qui a la "particularité" (c'est pour ça qu'il est enlevé) et nous, inconscient du danger, voulons sauver notre frère alors que ce dernier n'est pas du tout en danger, et au contraire une fois devenu "des leurs", voudra nous sacrifier nous!
ON peut imaginer deux fins:
-on tue le frère renégat et on détruit le culte
-on réussit à le "déconvertir" et on trouve ainsi le moyen de "déconvertir" tout le monde.