Je m'aperçois juste maintenant d'une faute de typo : Dans l'angle mort et non Dans l'Angle mort. Le 1er substantif d'un titre (et tous les mots entre le début et ce substantif) prend la majuscule uniquement si le titre commence par le, la, les, l'.
Ex : Les Mirifiques Aventures de maître Antifer de Jules Verne, mais À rebours de Huysmans, Un amour de Swann de Proust.
Parfois, quand le titre met deux substantifs à équivalence avec ou ou et, on traite les deux de la même manière.
Ex : Le Corbeau et le Renard
Personnellement s'agissant des titres de livres-jeu Gallimard, j'ai tendance à appliquer une règle personnelle : mettre la majuscule à presque tous les substantifs pour le côté épique que ça donne.
C'était la minute cuistre. Merci de votre attention.
Débat Gyno-Outremer, pierre dagonidienne à l'édifice : actuellement la tendance (à en juger de ce que je vois passer sur un réseau social + les échos entendus dans mon entourage) est à la banalité quant au fait d'être lesbienne ou gay. Ce qui démange, fait réagir, agace ou fait débat est plutôt tout ce qui entoure la transidentité, ses multiples avatars lexicaux, et la contestation du genre (nier les étiquettes homme/femme ou homo/hétéro... en créant des tas d'autres étiquettes à n'en plus finir). Il me semble que les trans (et autres) en sont dans les années 2020 là où étaient les gays en 1980. Les débats de l'avenir (et donc les débats, invectives, évolutions légales, changement du regard, frictions, manif pour tous...) sont plutôt là, et dans le féminisme radical.
Ex : Les Mirifiques Aventures de maître Antifer de Jules Verne, mais À rebours de Huysmans, Un amour de Swann de Proust.
Parfois, quand le titre met deux substantifs à équivalence avec ou ou et, on traite les deux de la même manière.
Ex : Le Corbeau et le Renard
Personnellement s'agissant des titres de livres-jeu Gallimard, j'ai tendance à appliquer une règle personnelle : mettre la majuscule à presque tous les substantifs pour le côté épique que ça donne.
C'était la minute cuistre. Merci de votre attention.
Débat Gyno-Outremer, pierre dagonidienne à l'édifice : actuellement la tendance (à en juger de ce que je vois passer sur un réseau social + les échos entendus dans mon entourage) est à la banalité quant au fait d'être lesbienne ou gay. Ce qui démange, fait réagir, agace ou fait débat est plutôt tout ce qui entoure la transidentité, ses multiples avatars lexicaux, et la contestation du genre (nier les étiquettes homme/femme ou homo/hétéro... en créant des tas d'autres étiquettes à n'en plus finir). Il me semble que les trans (et autres) en sont dans les années 2020 là où étaient les gays en 1980. Les débats de l'avenir (et donc les débats, invectives, évolutions légales, changement du regard, frictions, manif pour tous...) sont plutôt là, et dans le féminisme radical.
Citation :« Le monde change. La musique change. Les drogues changent. Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana : que des branleurs ! » Trainspotting