J’en ai profité pour re-éplucher mon bon vieux Marais aux Scorpions, puisque je l’avais sous la main hier soir, sous l’angle de recherche qui est le tien.
Alors voilà ce que j’en conclus :
Toutes les figures féminines dans ce livre sont inoffensives, même quand on peut leur causer du tort !
Il y a bien 2 sorcières, mais gentilles.
La première l’est supposément (sur le wiki Titannica, elle est même nommée Witch of Hagring), c’est la vieille dame aidée par le héros et à qui elle donne en remerciement l’Anneau magique déterminant le Nord… et l’aventure qui suit (elle apparaît en introduction).
La seconde c’est la Maîtresse des Oiseaux, l’un des « sorciers du marais » : jeune, belle, riante et spontanée, entourée de volatiles, dans un décor de végétation un peu paradisiaque. On ne peut la combattre, ou alors elle botte en touche grâce à une nuée d’oiseaux. Mais il faut alors vraiment avoir envie de l’attaquer, car même si on sert le maléfique Stratagus, elle a de la compassion et aide le héros. Elle incarne la douceur (tout court, et de vivre), mais aussi l’intuition féminine, un certain pouvoir de la femme et aussi une certaine naïveté enfantine (voir principalement les par.131 (avec dessin, ci-dessous), 164, 248, 260 et 391).
En dehors de ces deux protagonistes incontournables de l’histoire, on trouve quelques figures féminines totalement secondaires -d’ailleurs pas toutes humaines- en ville (serveuse au Paladin Arms de Bourbenville -dessin par.1-, habitante de Bourbenville croisée dans la rue -par.335-, servante gobeline de Pompatarte -par.372-) et dans le marais (la femme du Géant -par.197 et 229-). Ces quatre partagent une incarnation féminine moins flatteuse : "bien en chair" ou laideur liée leur race, labeur quotidien et service/dévouement au masculin.
Qu’en conclure ? Rien de général pour les ldevlh puisqu’il ne s’agit que d’un exemple, en outre du seul ldvelh de la série DF écrit par ce Steve Jackson-là. Mais je laisse le soin à l’auteur du dossier d’en tirer les conclusions.
Alors voilà ce que j’en conclus :
Toutes les figures féminines dans ce livre sont inoffensives, même quand on peut leur causer du tort !
Il y a bien 2 sorcières, mais gentilles.
La première l’est supposément (sur le wiki Titannica, elle est même nommée Witch of Hagring), c’est la vieille dame aidée par le héros et à qui elle donne en remerciement l’Anneau magique déterminant le Nord… et l’aventure qui suit (elle apparaît en introduction).
La seconde c’est la Maîtresse des Oiseaux, l’un des « sorciers du marais » : jeune, belle, riante et spontanée, entourée de volatiles, dans un décor de végétation un peu paradisiaque. On ne peut la combattre, ou alors elle botte en touche grâce à une nuée d’oiseaux. Mais il faut alors vraiment avoir envie de l’attaquer, car même si on sert le maléfique Stratagus, elle a de la compassion et aide le héros. Elle incarne la douceur (tout court, et de vivre), mais aussi l’intuition féminine, un certain pouvoir de la femme et aussi une certaine naïveté enfantine (voir principalement les par.131 (avec dessin, ci-dessous), 164, 248, 260 et 391).
En dehors de ces deux protagonistes incontournables de l’histoire, on trouve quelques figures féminines totalement secondaires -d’ailleurs pas toutes humaines- en ville (serveuse au Paladin Arms de Bourbenville -dessin par.1-, habitante de Bourbenville croisée dans la rue -par.335-, servante gobeline de Pompatarte -par.372-) et dans le marais (la femme du Géant -par.197 et 229-). Ces quatre partagent une incarnation féminine moins flatteuse : "bien en chair" ou laideur liée leur race, labeur quotidien et service/dévouement au masculin.
Qu’en conclure ? Rien de général pour les ldevlh puisqu’il ne s’agit que d’un exemple, en outre du seul ldvelh de la série DF écrit par ce Steve Jackson-là. Mais je laisse le soin à l’auteur du dossier d’en tirer les conclusions.