Pour ajouter à mon arc une corde
J'ai composé une ode, sur cette période
Où Nature se pare d'habits orangés
Et qui par son aspect, rend mon esprit léger.
Quand souffle et siffle facilement le zéphyr
Est défunt le parfum des fleuves de saphir.
Les feuilles folles s'affalent en files effilées
Phares où confluent cafards et fourmis effarés.
Effeuillés par Dame Nature aux doigts de fées
Trônent dans la forêt, les arbres décoiffés
Effleurant l'azur de leur branches ramifiées
Défiant fictivement les grands dieux sanctifiés.
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Quand souffle et siffle facilement le zéphyr
Est défunt le parfum des fleuves de saphir.
Les feuilles folles s'affalent en files effilées
Phares où confluent cafards et fourmis effarés.
L'allitération en "f" m'évoque le souffle du vent et l'allitération en "fl" m'évoque une feuille qui tombe (mettez-vous en hauteur, une feuille à la main, et faites-la tomber. Ecoutez bien le bruit :huhu
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Phares où confluent cafards et fourmis effarés.
Phares - ca-fards - ef-far-és
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Merci à vous de m'avoir lu !
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