La limite de 50 paragraphes jusqu'à maintenant utilisée est de moins en moins évidente.
L'emploi :
- d'annexes,
- de choix de renvois dès l'introduction,
- des messages de renvois à rallonge qui permettent de faire l'économie d'un paragraphe pour en relier deux autres,
- les renvois en plein milieu d'un paragraphe
- et j'en oublie probablement...

Bien sûr, il ne s'agit pas de fustiger les auteurs, je crois que nous avons tous recours spontanément à tous ces procédés sans forcément chercher à faire rentrer une avh dans une limite de paragraphes, car ils peuvent présenter d'autres avantages. Je viens de reparcourir les Voies d'Attégia, et j'y ai eu recours, sans m'en rendre compte, notamment les points 3 et 4.
Je vois deux solutions qui ont été proposées :
La première, faire une sorte d'inventaire de tous les procédés, aller jusqu'à définir formellement ce que sont un paragraphe, un renvoi, un pfa ... et donc établir de façon objective l'arborescence de chaque avh et s'assurer qu'elle présente bien 50 nœuds au maximum. Je crois me souvenir que Caïthness avait commencé à proposer quelques chose en ce sens.
C'est un processus long et fastidieux, autant pour les assesseurs (c'est déjà difficile de trouver des volontaires) que pour les auteurs, spécialement les auteurs débutants. C'est déjà dur d'arriver au bout d'un projet d'écriture, si on se retrouve face à un obstacle de complexité supplémentaire à franchir, ça risque de démotiver beaucoup de monde.
La seconde solution, c'est de retirer la limite de paragraphes et de le remplacer par une limite de caractères ou mots. Outremer avait proposé des limites sur la base des précédentes mini-avh lauréates, je me souviens plus des chiffres. Cette solution a ma préférence. Elle est simple, c'est une limite facile à vérifier tant pour les auteurs que les votants et assesseurs.
Voilà l'état du débat. Je propose qu'on en discute, et que d'ici la rentrée, on propose un sondage pour trancher entre ces trois situations (1-c'est les assesseurs qui tranchent (situation actuelle) , 2-établissement d'une arborescence objective et comptage des noeuds, 3-remplacer par une limite de mots et/ou caractères), et éventuellement d'autres idées.