Et j'accroche immédiatement. C'est de la trés bonne SF, à la limite de l'anticipation, dans lequel l'auteur me semble maîtriser parfaitement la construction du personnage principal nommé Render...
En effet, c'est bien le maître des rêves qui est au le sujet de ce livre, un maître des rêves qui n'est pas Sandman, mais un psychiatre séduisant et au fond trés seul, dont les rêves sont finalement passés au second plan.
C'est l'occasion pour l'auteur de nous parler théatre, suicide, dérision et poésie, mâtinés d'un brin de mysticisme...

Bon, en attendant vos réactions je n'en dis pas plus, sinon je risque de gâcher une potentielle future lecture...
