12/03/2008, 21:09
Ce volume commence exactement là où s'arrête Le Sorcier Majdar : dans le village kundi en pleine réflexion face à l'énigme qui nous est posée. Je ne me souviens pas d'un enchaînement aussi rapide entre deux tomes dans une autre série de LDVELH.
On retrouve le style très agréable de la série dans ce premier long paragraphe, qui prend le temps de décrire les scènes et de faire le portrait de notre premier et nouveau compagnon : un amusant chaman homme-singe (kundi). Comme dans le 1er tome, on va avoir l'occasion de reformer un groupe en trouvant de nouveaux amis. Reste plus qu'à espérer que ceux-ci connaissent un destin moins funeste que Chan et Tanid...
Des camarades, une assez forte linéarité, un nouveau long voyage à travers la campagne pour atteindre notre objectif (la porte permettant de se rendre sur le plan Noctiurne-Daziarn où est cachée la Pierre de Lune), tout ceci ressemble fortement au scénario du Sorcier Majdar. Avec toutefois une différence de taille concernant la difficulté. Autant il était difficile de survivre au Klaysha puis aux créatures qui nous séparent du village kundi, autant cette fois-ci il n'y a pas de cause de mortalité très flagrante. Un peu de souffrance face aux spectres de Charatchak il est vrai, quelques PFA vicieux vers la fin, mais il est généralement facile d'éviter les combats les plus dangereux. J'ai d'ailleurs trouvé étonnant cette prime à la prudence, voire à la lâcheté, qui semble régir la difficulté de l'aventure.
Là aussi on a droit à quelques scènes sympas et marquantes comme l'assaut des Libres sur la cité asservie, les bêtes humaines de la cité interdite qui rappellent les mutants de La Colline a des Yeux... Surtout, les personnages rencontrés, dont nos compagnons, ont une personnalité plus forte que dans la moyenne des LDVELH. On se soucie donc véritablement de leur sort et ça augmente la crédibilité du récit.
Un LDVELH plaisant, assez classique dans sa construction et pour son scénario mais le style de Ian Page et l'univers de Joe Dever donnent une touche séduisante à l'ensemble. J'ai autant apprécié que le 1er tome, voir un chouilla plus car je n'avais pas trouvé la partie urbaine du Sorcier Majdar particulièrement palpitante (ici, tout se passe dans une nature hostile).
A noter quelques longueurs qui peuvent rebuter les amateurs d'action.
On retrouve le style très agréable de la série dans ce premier long paragraphe, qui prend le temps de décrire les scènes et de faire le portrait de notre premier et nouveau compagnon : un amusant chaman homme-singe (kundi). Comme dans le 1er tome, on va avoir l'occasion de reformer un groupe en trouvant de nouveaux amis. Reste plus qu'à espérer que ceux-ci connaissent un destin moins funeste que Chan et Tanid...
Des camarades, une assez forte linéarité, un nouveau long voyage à travers la campagne pour atteindre notre objectif (la porte permettant de se rendre sur le plan Noctiurne-Daziarn où est cachée la Pierre de Lune), tout ceci ressemble fortement au scénario du Sorcier Majdar. Avec toutefois une différence de taille concernant la difficulté. Autant il était difficile de survivre au Klaysha puis aux créatures qui nous séparent du village kundi, autant cette fois-ci il n'y a pas de cause de mortalité très flagrante. Un peu de souffrance face aux spectres de Charatchak il est vrai, quelques PFA vicieux vers la fin, mais il est généralement facile d'éviter les combats les plus dangereux. J'ai d'ailleurs trouvé étonnant cette prime à la prudence, voire à la lâcheté, qui semble régir la difficulté de l'aventure.
Là aussi on a droit à quelques scènes sympas et marquantes comme l'assaut des Libres sur la cité asservie, les bêtes humaines de la cité interdite qui rappellent les mutants de La Colline a des Yeux... Surtout, les personnages rencontrés, dont nos compagnons, ont une personnalité plus forte que dans la moyenne des LDVELH. On se soucie donc véritablement de leur sort et ça augmente la crédibilité du récit.
Un LDVELH plaisant, assez classique dans sa construction et pour son scénario mais le style de Ian Page et l'univers de Joe Dever donnent une touche séduisante à l'ensemble. J'ai autant apprécié que le 1er tome, voir un chouilla plus car je n'avais pas trouvé la partie urbaine du Sorcier Majdar particulièrement palpitante (ici, tout se passe dans une nature hostile).
A noter quelques longueurs qui peuvent rebuter les amateurs d'action.