Ne pas pouvoir escalader le mur est effectivement tout à fait frustrant, d'autant qu'on devrait pouvoir le faire dès qu'on a franchi le fleuve. A ce moment-là, on est déjà du bon côté de la rive! Une fois "dehors" il suffit de longer la muraille vers le nord jusqu'à la porte pour récupérer le chemin.
Mettre les 4 vers dans le bon ordre aussi est frustrant car on peut tout à fait les placer dans un autre que celui prévu sans dénaturer le sens du poème entier. Il y a ici une résonance certaine avec l'épreuve finale de la porte de sortie du Labyrinthe de la Mort.
On parlait ailleurs des modes de transport. On peut voler un cheval pour aller plus vite, mais cela se retourne aussitôt contre nous. Encore une fois, un auteur a évité de vouloir gérer ce paramètre. Et pourtant, parcourir le 3e tome a cheval aurait pris tout son sens pour rattraper les messagers nous précédant sur la route! Cela aurait pu être une course poursuite carrément épique. Vraiment dommage.
Pour le reste je serai plus nuancé. Entre traverser au sec ou à la nage avec notre sac à dos et toutes les provisions qui risquent de se gâter, et nos objets qui pourraient nous entraîner par le fond, dans un fleuve qui semble très large, je vais forcément passer par la ville.
Les pièges sont plus présents, de mémoire il y a en déjà deux rien qu'au tout début chez des habitants: le poulpe et l'armurier, et aussi celui de la statue du temple. Il y a aussi des pièges qui ne sont pas que mécaniques, et même des habitants qui sont eux-mêmes le piège!
Enfin, il y a une différence entre trouver 4 péquins et 4 personnes qui comptent dans la cité. C'est bien dit dès le départ, on doit trouver 4 membres "éminents" de la cité, cela rend tout de suite la tâche plus aisée dans ce périmètre délimité. En tout cas c'est sans commune mesure avec la tâche de trouver 7 personnes qui se déplacent constamment sur un territoire immense (tome 3).
Un bon point pour ce tome 2 c'est la difficulté progressive. Trouver les deux premiers vers est plutôt chose aisée, car on a la possibilité d'être guidé si on les a manqué, en fonction de notre parcours dans le tome précédent. On pourra alors se concentrer sur la manière de dénicher le 3e et surtout le 4e.
Mettre les 4 vers dans le bon ordre aussi est frustrant car on peut tout à fait les placer dans un autre que celui prévu sans dénaturer le sens du poème entier. Il y a ici une résonance certaine avec l'épreuve finale de la porte de sortie du Labyrinthe de la Mort.
On parlait ailleurs des modes de transport. On peut voler un cheval pour aller plus vite, mais cela se retourne aussitôt contre nous. Encore une fois, un auteur a évité de vouloir gérer ce paramètre. Et pourtant, parcourir le 3e tome a cheval aurait pris tout son sens pour rattraper les messagers nous précédant sur la route! Cela aurait pu être une course poursuite carrément épique. Vraiment dommage.
Pour le reste je serai plus nuancé. Entre traverser au sec ou à la nage avec notre sac à dos et toutes les provisions qui risquent de se gâter, et nos objets qui pourraient nous entraîner par le fond, dans un fleuve qui semble très large, je vais forcément passer par la ville.
Les pièges sont plus présents, de mémoire il y a en déjà deux rien qu'au tout début chez des habitants: le poulpe et l'armurier, et aussi celui de la statue du temple. Il y a aussi des pièges qui ne sont pas que mécaniques, et même des habitants qui sont eux-mêmes le piège!
Enfin, il y a une différence entre trouver 4 péquins et 4 personnes qui comptent dans la cité. C'est bien dit dès le départ, on doit trouver 4 membres "éminents" de la cité, cela rend tout de suite la tâche plus aisée dans ce périmètre délimité. En tout cas c'est sans commune mesure avec la tâche de trouver 7 personnes qui se déplacent constamment sur un territoire immense (tome 3).
Un bon point pour ce tome 2 c'est la difficulté progressive. Trouver les deux premiers vers est plutôt chose aisée, car on a la possibilité d'être guidé si on les a manqué, en fonction de notre parcours dans le tome précédent. On pourra alors se concentrer sur la manière de dénicher le 3e et surtout le 4e.