28/02/2020, 13:40
(Modification du message : 28/02/2020, 13:44 par Shamutanti.)
Je vous entends bien Vador et Dagonides, et vous avez même raison. Le truc c'est que c'est ici que ça coince :
Chacun de notre côté, avec Philippe, on a fait des nuits blanches pour boucler tout avant le FIJ. J'ai un travail à temps plein à côté, je suis 100% bénévole pour Alkonost et le FIJ. Quand je ne dors pas, je travaille le lendemain malgré tout.
Aussi, je suis rentré du FIJ lundi à 4h30 du mat. L'aprem j'étais au taf en région parisienne.
J'ai aussi une famille, avec femme et enfants.
Vous n'imaginez pas ce que c'est d'éditer des livres. Il y a tellement d'étapes et de gens à réunir. On a tellement bien bossé que la commerciale de l'imprimeur s'est déplacée au FIJ suite à notre invitation.
On a juste besoin de dormir de temps en temps. Et quand on nous reproche de ne pas avoir fait des invit' comme il faut, ou de ne pas avoir passé des coups de fils, on soupire.
Demandez à Sukumvit : un soir du FIJ, j'ai craqué devant lui... On est fatigué...
A votre avis, pourquoi Philippe n'a pas passé de coups de fils cette année ? Parce que ça l'intéresse moins ? Non, parce qu'il n'a pas eu le temps. C'est tout. On est à la limite de ce que notre corps peut endurer. Donc ne tirez pas sur la corde. Travaillons ensemble, partageons-nous les tâches, mais ne nous chargez plus avec Philippe, même si je sais que l'idée part de lui. Il a lancé le truc, à nous de continuer.
A force de ne plus dormir, je fais des malaises au travail depuis octobre. Octobre les gars. Je tombe, je me relève, je dis rien. Personne ne me vois. Au boulot, je n'étale pas ce que je fais la nuit et le WE. Hier j'ai fait mon malaise devant des gens. Alors ont m'a ramené chez moi. Aujourd'hui je suis arrêté, et avant de voir le toubib, ben je suis là et je prépare les expéditions des livres Alkonost avec le service logistique de l'imprimeur.
Donc, juste, ne me demandez pas d'en faire plus.
Citation :il n'y avait pas pléthore d'auteurs, qu'un coup de fil, au début du concours pour inviter, prendre les coordonnées de chacun pour prévoir (comme l'an dernier, Philippe m'avait directement contacté à ce sujet), ce n'est pas la mer à boire, même dans un calendrier chargé.
Chacun de notre côté, avec Philippe, on a fait des nuits blanches pour boucler tout avant le FIJ. J'ai un travail à temps plein à côté, je suis 100% bénévole pour Alkonost et le FIJ. Quand je ne dors pas, je travaille le lendemain malgré tout.
Aussi, je suis rentré du FIJ lundi à 4h30 du mat. L'aprem j'étais au taf en région parisienne.
J'ai aussi une famille, avec femme et enfants.
Vous n'imaginez pas ce que c'est d'éditer des livres. Il y a tellement d'étapes et de gens à réunir. On a tellement bien bossé que la commerciale de l'imprimeur s'est déplacée au FIJ suite à notre invitation.
On a juste besoin de dormir de temps en temps. Et quand on nous reproche de ne pas avoir fait des invit' comme il faut, ou de ne pas avoir passé des coups de fils, on soupire.
Demandez à Sukumvit : un soir du FIJ, j'ai craqué devant lui... On est fatigué...
A votre avis, pourquoi Philippe n'a pas passé de coups de fils cette année ? Parce que ça l'intéresse moins ? Non, parce qu'il n'a pas eu le temps. C'est tout. On est à la limite de ce que notre corps peut endurer. Donc ne tirez pas sur la corde. Travaillons ensemble, partageons-nous les tâches, mais ne nous chargez plus avec Philippe, même si je sais que l'idée part de lui. Il a lancé le truc, à nous de continuer.
A force de ne plus dormir, je fais des malaises au travail depuis octobre. Octobre les gars. Je tombe, je me relève, je dis rien. Personne ne me vois. Au boulot, je n'étale pas ce que je fais la nuit et le WE. Hier j'ai fait mon malaise devant des gens. Alors ont m'a ramené chez moi. Aujourd'hui je suis arrêté, et avant de voir le toubib, ben je suis là et je prépare les expéditions des livres Alkonost avec le service logistique de l'imprimeur.
Donc, juste, ne me demandez pas d'en faire plus.