09/04/2010, 00:09
Je vous copie un article du 20 Minutes sur Internet :
Mandat d'arrêt lancé contre Ian Bailey pour le meurtre de Sophie Toscan du Plantier
il y a 3 heures 36 min
20minutes.fr
L'enquête sur le meurtre de Sophie Toscan du Plantier connaît un nouveau rebondissement. Le juge d'instruction parisien Patrick Gachon a émis un mandat d'arrêt européen contre le journaliste anglais Ian Bailey, le 19 février. Ce dernier avait longtemps fait figure de principal suspect. Déjà entendu à deux reprises par la police irlandaise, il a toujours clamé son innocence.
La justice irlandaise a accusé réception le 9 mars de ce mandat d'arrêt européen, selon une source proche du dossier. Le meurtre le 23 décembre 1996, près de sa maison dans le sud-ouest de l'Irlande, de l'épouse du producteur et ancien patron de Gaumont, Daniel Toscan du Plantier, aujourd'hui décédé, n'a jamais été élucidé.
Aucune mise en examen à l'époque
Personne n'a été mis en examen en Irlande pour le meurtre de cette femme de 39 ans, retrouvée le crâne fracassé sur le chemin menant à sa maison de campagne près du village de Skull (sud-ouest). L'agresseur avait frappé la nuit à la porte de sa cuisine. Sophie Toscan du Plantier avait ouvert, apparemment sans méfiance. Sa famille, qui a déposé plusieurs plaintes en France, s'est constamment battue pour faire progresser l'enquête.
«C'est une étape importante même si Ian Bailey dispose de nombreuses voies de recours et va sans doute saisir la «High Court» irlandaise», a commenté à l'AFP l'un des avocats de la famille Toscan du Plantier, Maître Alain Spilliaert.
Soupçonné par la police, Ian Bailey, un journaliste pigiste anglais qui travaillait pour plusieurs journaux irlandais, avait été arrêté à deux reprises au cours de l'enquête menée en Irlande. Il avait même été placé en garde-à-vue durant 24 heures, mais n'a jamais été inculpé, faute de preuve. Ian Bailey avait fait naître les soupçons en étant parmi les premiers sur les lieux du crime puis en faisant état dans des articles d'éléments que seuls les enquêteurs et le meurtrier étaient censés connaître.
La question est donc : est-ce le même Ian Bailey ?
Mandat d'arrêt lancé contre Ian Bailey pour le meurtre de Sophie Toscan du Plantier
il y a 3 heures 36 min
20minutes.fr
L'enquête sur le meurtre de Sophie Toscan du Plantier connaît un nouveau rebondissement. Le juge d'instruction parisien Patrick Gachon a émis un mandat d'arrêt européen contre le journaliste anglais Ian Bailey, le 19 février. Ce dernier avait longtemps fait figure de principal suspect. Déjà entendu à deux reprises par la police irlandaise, il a toujours clamé son innocence.
La justice irlandaise a accusé réception le 9 mars de ce mandat d'arrêt européen, selon une source proche du dossier. Le meurtre le 23 décembre 1996, près de sa maison dans le sud-ouest de l'Irlande, de l'épouse du producteur et ancien patron de Gaumont, Daniel Toscan du Plantier, aujourd'hui décédé, n'a jamais été élucidé.
Aucune mise en examen à l'époque
Personne n'a été mis en examen en Irlande pour le meurtre de cette femme de 39 ans, retrouvée le crâne fracassé sur le chemin menant à sa maison de campagne près du village de Skull (sud-ouest). L'agresseur avait frappé la nuit à la porte de sa cuisine. Sophie Toscan du Plantier avait ouvert, apparemment sans méfiance. Sa famille, qui a déposé plusieurs plaintes en France, s'est constamment battue pour faire progresser l'enquête.
«C'est une étape importante même si Ian Bailey dispose de nombreuses voies de recours et va sans doute saisir la «High Court» irlandaise», a commenté à l'AFP l'un des avocats de la famille Toscan du Plantier, Maître Alain Spilliaert.
Soupçonné par la police, Ian Bailey, un journaliste pigiste anglais qui travaillait pour plusieurs journaux irlandais, avait été arrêté à deux reprises au cours de l'enquête menée en Irlande. Il avait même été placé en garde-à-vue durant 24 heures, mais n'a jamais été inculpé, faute de preuve. Ian Bailey avait fait naître les soupçons en étant parmi les premiers sur les lieux du crime puis en faisant état dans des articles d'éléments que seuls les enquêteurs et le meurtrier étaient censés connaître.
La question est donc : est-ce le même Ian Bailey ?