(17/07/2011, 16:31)ashimbabbar a écrit : Puiqu'on en parle: c'est effectivement cequ'a mis Sukumvit, c'est donc la règle VF. Cependant la règle VO dit " If the spellcasting process is interrupted ( for instance, if you take a Round out to dodge or fight ) then you have to go back to stage one." Donc apparemment dans la règle VO être blessé n'interrompt pas le lancement de sort.
La formulation utilisée dans la VF n'est tout simplement pas claire. La VO, en revanche, explique bien que le lancement d'un sort n'est interrompu que si le magicien entreprend une autre action. Je m'en tiens à cette version-là.
Les épées s'entrechoquent dans un fracas d'acier assourdissant. Saenad et Sire Flongand sont pressés durement, mais ils réussissent à parer les attaques de leurs adversaires.
Fimmex, plongé comme dans la manipulation complexe de l'énergie magique, ne peut cette fois empêcher les lames acérées des squelettes de transpercer son armure et de s'enfoncer dans sa chair. Il perd un total de 10 point d'Endurance. Presque aveuglé par la douleur, il maintient néanmoins sa concentration avec une volonté farouche... et parvient à lancer le sort ! L'espace se déforme autour de l'équipe, la dérobant aux épées avides des squelettes.
J'avais réfléchi à ce que je ferais si votre équipe se faisait occire (ce qui serait presque certainement arrivé si Fimmex n'avait pas réussi à temps sa téléportation). L'idée à laquelle je m'étais arrêté était la suivante :
la mort vous accueillerait sous la forme d'un néant brumeux ; après un temps indéterminé, il serait devenu blanc et froid ; vous auriez entendu une voix claire vous demander "Et bien, est-ce que vous rêvez déjà ?" ; vous auriez cligné des yeux et vu devant vous Uraba, assise sur son tas de bûches ; vos plaies auraient disparu et vous seriez de nouveau dans le même état qu'en quittant le village ; vous auriez raconté ce qui s'était passé à Uraba, mais elle aurait ri et vous aurait dit de lui laisser le soin des visions pessimistes du futur ; vous auriez à nouveau cheminé vers le Palais, saisi d'une puissante impression de déjà-vu qui ne se serait dissipé qu'en arrivant aux trois portes ; revoyant le chemin qui vous a mené à la mort derrière la Porte de la Confusion, vous auriez choisi l'une des deux autres.
Bref, Fitz, je te félicite de ta présence d'esprit, mais tu me flingues mes idées, tout de même !